Les Petits Pervers

Ca y est, j'y suis enfin parvenu! A quoi? Mais a chatouiller les pieds de ma chere tante Andrée bien sur! J'espere que le lecteur excusera la mediocre qualite des prises de vue car extraite du film que j'ai fait avec son GSM.

Apres une petite soiree passablement arrosee, j'ai reussi a la persuader de s'allonger sur un lit de camp et de se laisser attacher les chevilles. Bien sur, j'ai du marchander et lui promettre premierement de ne poster que les photos montrant ses pieds et deuxiement de m'abstenir de lui oter ses escarpins.

Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac et quand elle me voit revenir avec une pique a brochette en bois, elle comprend qu'elle s'est laissee berner et que je vais bel et bien taquiner ses pieds que je sais sensibles.

  Grace a mon petit bâtonnet, je n’ai évidemment aucune peine à en insinuer la pointe entre la semelle du soulier et la plante du pied de ma tante. Des le premier contact, la réaction de tante ne se fait pas attendre, réaction ponctuée de nombreux « Poussiiin ! Noooon ! Pas mes pieds ! Pas mes pieeeeds ! »

 Mais elle est si chatouilleuse que presque instantanément elle éclate de rire tandis que le pied sollicite sursaute tout comme l’autre d’ailleurs qui, comme si il avait été également touché par ma petite pique, se contracte nerveusement

Ravi de la réaction que j’espérais, je titille tantôt le dessus a la base des doigts de pieds, tantôt le dessous, faisant ainsi battre les orteils de ce dernier d’avant en arrière, mouvement rythme par de nombreux « Arrête poussin ! Arrête ! S’il te plait ! Hiiiiii non pas laaaaa ! »

Comme je le prévoyais, au moment même ou je touche une zone particulièrement sensible, ma tante pousse un « Gnnnniiiiii » strident et contracte si violemment son pied qu’elle fait littéralement valdinguer sa chaussure, dénudant ainsi complètement et pour mon plus grand bonheur l’objet de mon plaisir.

Je pourrais évidement faire la même chose sur son pied gauche mais, patient, je préfère continuer à chatouiller le droit au grand dam de tante qui n’arrive plus qu’a émettre un véritable concert de « Hiiiiiiii », de « Houuuuu », de « Gnniiiiii » et de « Haaaaa » entrecoupes de rires et de hoquets.

Un long moment, je m’amuse a agacer la plante du pied en regardant avec délice les orteils de ma tante pianoter désespérément.

C’est en fait assez amusant de constater que même en ne chatouillant qu’un seul pied, l’autre réagit pratiquement de la même manière.

   Pour satisfaire aux suppliques de ma tante, je m’arrête bien évidemment de temps en temps, histoire de lui laisser reprendre son souffle et de m’entendre traiter de tous les noms face à ma délicieuse et ingénieuse traitrise. Pourtant, n’ai-je pas tenu parole en disant que je ne toucherais pas à ses souliers ? Mais qu’importe.

Tante est même si chatouilleuse que le simple fait de lui distiller des « Guiliguiliguili » prononcés d’une voix insidieuse et perverse suffit à remettre ses orteils en mouvement.

  Je passe donc un autre petit moment a user de cette nouvelle technique propre a stimuler autant qu’énerver celle qui n’a d’autres choix que de les entendre faisant ainsi a nouveau aller les pieds de ma victime d’avant en arrière, comme chatouilles par des doigts invisibles.

Mais bien vite, l’envie de la recherche de nouvelles zones me reprend et, alors que je promène ma baguette, telle un archet de violon, entre ses orteils, ses rires et ses cris redoublent d’ardeur, tout comme les soubresauts de son pied gauche.

Avec délice, et en commençant maintenant même à bander, je promène inlassablement mon outil entre les doigts de pied fébriles et nerveusement recroquevilles de ma tante maintenant en proie a une bruyante crise de rires et de cris hystériques.

Soudain… victoire… son pied gauche s’agite si violemment en tout sens qu’il envoie également valser le deuxième soulier encore plus loin que le premier.

  Des lors, plus rien ne m’empêche de faire subir a ce second membre dénudé et sans défense le même supplice que le premier.

C’est en fait tout aussi excitant que comique de voir alors comment les deux pieds réagissent de concert, tantôt s’agitant d’avant en arrière,, tantôt en faisant pianoter nerveusement leurs orteils tandis que la pièce, devenue une véritable salle de torture, résonne des rires, des cris et des suppliques hoquetées et incompréhensibles de ma tante qui s’agite maintenant comme un poisson hors de l’eau.

Mais trop occupe a gouter a mon plaisir, je n’en ai cure et continue a longuement la torturer en veillant a ne lui laisser que le temps strictement nécessaire pour pouvoir récupérer et éviter tout évanouissement intempestif. Je suis tellement excite que je bande comme un bœuf, faisant même un effort pour résister a l’envie de sortir mon dard pour me masturber.

Alors que je consent enfin a mettre un terme au supplice et que je détache tante, je m’attends a être sévèrement réprimandé. Et bien non car elle se contente de me lâcher avec un curieux sourire un « Sale petit voyou que tu es ! » avant de disparaitre vers la salle de bain en tentant de cacher la tache humide visible sur sa jupe a la hauteur de son entre-jambes et témoin irréfutable du puissant jet de cyprine qu’elle a bel et bien lâché lors de son ou de ses orgasmes.

Depuis, je ne désespère évidemment plus de réitérer mon expérience en y ajoutant quelques nouveautés bien sur. Mais ca… chut… suite au prochain numéro j’espère.