Soumission

Mardi 25 janvier 2 25 /01 /Jan 19:12

Une fois n'est pas coutume... une jolie histoire sans image. Inutile aussi de vous preciser qu'il ne s'agit pas du Max de la BD du meme nom et datant des annees soixante.

 

 

Ce jour la, sans doute inspire par une etrange intuition, je decide de repasser chez ma tante apres une seance d'escalade en salle. Bien qu'elle habite un endroit isole au bord d'un bois, je ne mets qu'un quart d'heure pour m'y rendre.
J'ai a peine sonne qu'elle m'ouvre dans une tenue assez habituelle chez elle. Petite mais potelee et encore bien foutue malgre sa quarantaine, elle ressemble un peu a une collegienne dans son chemisier blanc, sa jupette ecossaise et ses bas bleu fonce, une tenue completee enfin par une paire de pantoufle ouverte a talon qui permettent de lui rendre une taille plus proche de la norme.
A dire vrai, j'esperais bien qu'elle porterait cette tenue la et deja je dois reprimer un debut d'erection tant elle m'excite comme ca.
Avec son beau sourire, elle me fait entrer et me propose un petit gateau avec un verre de lait, ma boisson preferee.
Un instant j'hesite encore tout comme a ma derniere visite a mettre mon projet a execution. Mais, mu par une seconde intuition, je me penche pour fouiller mon sac a la recherche d'un paquet de mouchoir et la, d'un geste naturel, je commence a retirer une partie du contenu, notamment deux bracelet de cuir garni de peau de mouton relies entre eux par un metre de sangle d'escalade le long de laquelle se promene un mousqueton ainsi que d'un masque servant a couvrir le haut du visage. Intriguee par la vue de cette etrange montage, tante me lance:
-Oh! C'est quoi ca?
Bingo! Mon coeur fait un petit bond mais je feins l'indifference et j'enchaine:
-Hein? Quoi? Oh ca!... Ca c'est rien! C'est un truc qui me sert a jouer a Max l'Explorateur avec ma copine! C'est tout! Je croyais meme l'avoir perdu en fait!
-Max l'Explorateur? C'est quoi comme jeu? Et ca? Ca sert a quoi? Tu peux m'expliquer?
La, je me lance et tout en croisant son regard perplexe, je me lance et propose:
-Et si je te montrais plutot?
-Ca fait mal ton jeu?
-Mais non! Au contraire meme! En tout cas, je peux te dire que toutes les copines avec qui je l'ai fait ont a-do-re!
Evidemment, c'est faux mais je mens si bien que tante gobe cette fausse affirmation et puis, comment pourrait-elle le controler puisque je n'ai meme pas de copine.
Tante garde un moment le silence, boit une gorgee de son verre de lait et me fait soudain rebondir a nouveau le coeur en me lancant:
-Aller! Oui! Montre-moi! Mais tu arretes des que je te le demande, d'accord?
-D'accord!
Mais tante sait-elle que je ne suis pas ce qu'on peut appeler un teneur de promesse? Quoi qu'il en soit, je lui fixe tout d'abord les deux bracelets a ses poignets en expliquant:
-Voila! Le but du jeu est simple... une fois que j'aurais termine de te mettre ca, je passerai le mousqueton au dessus de la porte, porte que je refermerai ensuite pour laisser pendre les sangles de notre cote avant d'y attacher tes bracelets.
Mon explication terminee, je n'ai plus qu'a effectivement fixer les sangles au deux artifices, obligeant maintenant tante a demeurer adossee a la porte de la cuisine, les deux mains pendant  a la hauteur de ses oreilles. La, je continue:
-Voila! Maintenant que tu es comme ca, je vais placer ca sur ton visage pour que tu ne puisse plus rien voir et notre jeu va pouvoir commencer. D'accord?
-Ou... oui, d'accord! Mais... mais tu es sur hein? Ca ne fait pas mal, hein? Tu promets?
-Mais non ca ne fait pas mal, Tu verras! Aller, plus que ca a mettre et on y va!
Tandis que je place correctement le masque sur le visage de tante, je sens sa respiration accelerer mais elle ne dit rien. C'est d'ailleurs moi qui doit rompre le silence en lui demandant:
-Ca y est? Prete a commencer? Ah oui, j'oubliais, le but du jeu est que je vais bien entendu te toucher! La ce sera a toi de me dire avec quoi bien sur!
-Ah oui... c'est donc pour ca le masque. Je... j'ai un peu peur mais... oui, je suis prete!
Et la je commence l'histoire de Max l'Explorateur dont la passion est evidemment de visiter toute contree inconnue, cette contree n'etant bien evidemment que tante. Mais Max doit aussi se choisir par quoi commencer. Je fais donc toujours a voix haute le recit de l'histoire et annonce:
-Bon... voyons... par quelle cote allons nous commencer l'exploration? Par le haut? Par le bas? Aller... pile se sera la haut, face le bas.
Je sors une piece de monnaie de ma poche, la lance et sans meme regarder annonce:
-Face! Ce sera donc vers le bas que Max ira.
Des cet instant, je deviens Max et rien que de savoir tout ce que je vais enfin pouvoir faire a ma tante me fait cette fois violemment bander, si violemment d'ailleurs que je n'hesite deja plus a me mettre franchement a l’aise en otant blouson, pantalon et slip^avant d’exhiber devant elle mon sexe fierement redresse et deja humide de la goutte de liquide seminal qui perle a son sommet. Bien sur, elle ne voit rien mais demande:
-Hey! Qu'est-ce que tu fais maintenant?
-Devine! C'est le but du jeu d'ailleurs! Alors? Qu'est-ce que je suis en train de faire?
-Bin, je sais pas! Ah? Si, peut-etre! Est-ce que par hasard tu n'aurais pas enleve ton blouson?
-Gagne tante! J'ai effectivement enleve mon blouson.
Et l'envie de lui annoncer que je n'ai pas enleve que ca me titille mais je prefere m'en abstenir en le lui faisant peut etre deviner plus tard. Mais sur l'heure, je continue:
-Ah! Bien! Revenons a notre exploration! Donc, nous avons dit que l'expedition allait commencer par le bas mais... devant? Derriere? Aller face devant et pile derriere!
Une fois encore je jette la piece et toujours sans regarder declare:
-Ah, cette fois c'est pile! Ce sera donc derriere!
J'ouvre ici une petite parenthese pour tout simplement vous apprendre que la partie que je prefere chez une femme sont ses fesses raison pour laquelle je compte commencer a partir de la.
La je m'approche de tante et lui saisit les hanches pour la retourner face a la porte et se presenter ainsi a moi de dos. Un moment, je goute a l'excitation qui monte en moi en admirant tante desormais a ma merci et dans l'incapacite totale ni de se defendre ni d'anticiper tout ce que je ne vais pas tarder a lui faire. Doucement, j'approche ma main de la fermeture eclair de sa jupe et d'un coup sec l'abaisse. Aussitot, tante sursaute et me crie:
-Hey mais... mais qu'est-ce que tu fais? Non! Pourquoi tu fais ca! Non! Pas de ca avec moi! Tu entends?
-J'entends tante mais ca fait helas partie du jeu de Max de retirer les vetements de celle qui doit deviner avec quoi je vais la caresser!
Tandis que j'explique, la jupe, lentement se met a glisser pour soudain atterir sur les pieds de tante qui maintenant me hurle presque dessus en repetant sans cesse:
-Aller! Ca suffit maintenant! Detache-moi que je remonte ma jupe! Detache-moi maintenant! Vite! Vite ou je...
-Tu vas quoi tante? Hurler? Tu sais personne ne t'entendra alors... Et aller le raconter? Hehehehe! Ca ca m'etonnerait, pudique comme tu es! Et puis qui te croirais hein? Ce serait ta parole contre la mienne! Bien sur, je vais te detacher... mais pas tant que la prtie ne sera pas terminee!
La, tante comprenant que j'ai raison, se radoucit un peu et reprend d'une voix cette fois plus douce et suppliante:
-Non! S'il te plait poussin! Non! Je... je ne veux plus jouer! S'il te plait! Detache-moi! Tu avais dit! Et puis, me retrouver comme ca sans ma jupe devant toi, meme de dos, ca me... ca me gene enormement tu le sais bien!
La je pars d'un petit rire amuse et interrompt ses lamentations declarant:
-Hehehehehe! Comment tante! Tu es deja embarrassee comme ca? Qu'est-ce que ca va etre alors quand... mais n'anticipons pas.
Et la, sans plus me soucier ni de ses suppliques ni de ses menaces de malgre tout denoncer mon profit de la situation, j'attrape ses bas au niveau de l'elastique et, doucement, faisant redoubler ses cris de honte et de colere melanges, je baisse doucement les collants jusqu'a mi-cuisses avant de m'arreter pour contempler le spectacle qui me rend deja fou de plaisir, tante en train de se tortilloner en me presentant maintenant ses jolies fesses rondes qui moulent admirablement une petite culotte classique en coton blanc. Oh, pas pour longtemps car, apres quelques secondes, je passe mes pouces sous l'elastique du sous-vetements et doucement, tout doucement tire alternativement a gauche et a droite, faisant peu a peu apparaitre une splendide paire de fesses a la peau preque blanche. La, tante tente bien de contrarier ma manoeuvre en s'agitant et en vociferant mais en vain et bientot, la petite culotte elle aussi arretee a mi-cuisse, c'est un derriere completement nu que le pan du chemisier, releve de par la position des bras, ne peut cacher et qu'il m'est donne d'admirer en me masturbant deja un peu pour soulager mon erection devenue presque douloureuse.
Peu a peu, tante, comprenant que ses efforts pour se liberer sont vains tant mon montage est solide, finit pas se calmer un peu, remplacant meme ses cris et ses menaces par quelques pleurs discrets mais bien audibles. Pudique comme elle l'est, je concois que ca doit etre terrible pour elle de devoir rester ainsi dans l'impossibilite de m'empecher de la regarder en pareille situation. Mais le jeu m'excite tellement que je realise qu'il m'est impossible de faire machine arriere.
C'est donc doucement que je viens m'accroupir derriere elle pour placer mon visage a quelques centimetres de ses rondeurs avant de ceder a l'envie d'y deposer un premier baiser. Tante sursaute, pousse un cri et en fondant en larmes lache d'une voix faible et tremblante:
-Pou... poussin! Non! Pitie! Arrete ca! Non! S'il te plai-ai-ai-ait!
Mais trop occupe a gouter a mon plaisir, je ne l'entends meme plus et continuant a commenter le moindre de mes faits et geste, je me mets maintenant a tantot lecher les fesses de tante, tantot les tater du bout du doigt, tantot encore les petrir pour enfin meme venir promener le bout de mon gland glissant comme une savonnette. Chaque fois je demande a tante, comme le jeu le prescrit, avec quoi elle croit etre touchee mais sa seule reponse sont des sanglots qu'elle ne peut meme plus retenir.
Enfin, comme un peu lasse de ses muscles fessiers, je decide de passer a la suite de mon exploration et, la laissant toujours de dos, reprend doucement mon effeuillage en faisant a nouveau glisser bas et petites culottes jusqu'a les abandonner cette fois au niveau des chevilles de ma partenaire de jeu.
Ensuite, je reviens vers ses fesses mais ne fait qu'y passer pour descendre maintenant aussi avec la langue et le bout des doigts le long de la jambe gauche de ma prisonniere, faisant naitre en elle de nombreux petits frissons. Chose curieuse, a plusieurs reprises, je percois meme entre deux sanglots un ou l'autre soupir; Mais quand je lui demande:
-Alors tante? Je ne t'avais pas dit que ca ne faisait pas mal? Ca te plait au moins?
-N... non! Arrete maintenant! De... detache-moi que... que je puisse remettre au moins ma petite culotte! S'il te plait! Je... je ne me suis jamais autant sentie genee qu'aujourd'hui! Aller! Detache-moi et je ne dirai rien a personne! Promis!
-Helas tante! Mon jeu c'est comme dans le Jumangi, une fois commence, il faut aller jusqu'au bout et terminer la partie! Et puis, l'exploration de Max n'est pas terminee, pas vrai?
Comprenant que je serai inflexible et que ses chances de se retrouver completement nue deshabillee de mes propres mains sont de cent pour cent, elle s'abandonne dans une nouvelle crise de larmes. Moi, ravi de l'excitation que me procure autant la vue de ce que j'ai devant les yeux que de l'humiliation que tante ressent, je reprends mon exploration la ou je l'avais laissee pour enfin lui oter completement pantoufles, bas et culotte, la laissant maintenant completement nue de la taille aux pieds. Un instant, comme a mon habitude maintenant, je la regarde se dandinner d'un pied sur l'autre, moins pour supporter le contact du carrelage froid que pour tenter de se cacher puis, n'y tenant plus, j'attrape sa cheville gauche, lui releve le membre vers l'arriere pour enfin me delecter du spectacle d'une plante de pied rose, ridee a souhait et aux orteils boudinnes mais si mignons que je ne peux m'empecher de directement les gober et les sucer l'un apres l'autre. Aussitot, tante pousse un hurlement en tentant de soustraire son peton de mon emprise:
-Hiiiiiiiiiiiiiiii! Nooooon! Pas caaaaa! Pas mon pied! Hiiiiii! Nooon! Pas mes pieds! Pas mes pieeeeds!
Mais la s'arrete sa supplique car elle part aussitot dans serie de rires hyteriques tandis que je lui gratouille a present la voute plantaire avec une fourchette en demandant:
-Serais-tu donc chatouilleuse des pieds tante! Oh mais oui qu'elle est chatouilleuse! Guiliguiliguili! Guiiiiliguiliguili!
Tante est tellement chatouilleuse qu'elle n'arrive que tres difficilement controler le va et vient de ses orteils, faisant alternativement se plisser davantage la plante de pied avant de la tendre et la rendre helas encore plus sensible a toute la serie d'attouchement que je lui prodigue. Enfin, entre deux hoquets elle parvient a me hurler un "Arreeeeeete" d'une voix stridente a quoi je repond simplement sans pour autant interrompre ce qui semble etre pour elle une veritable torture:
-D'accord tante! Je vais arreter! Mais pour cela, il faut que tu me dises avec quoi je te chatouille! Le jeu! N'oublie pas le jeu! Guiliguiliguiliguili!
Un moment, elle succombe a une nouvelle et violente crise de rire pour enfin me lancer d'une voix bizarre et si aigue qu'elle me vrille les tympans:
-Sais paaaaaaas!
-Trop facile tante! Aller! Je suis sur que tu peux trouver! Tu vois? Mon jeu est simple! Tu trouves... et j'arrete! Allons! Un effort!
La j'abandonne la fourchette et reprend de plus belle mes chatouillis du bout des doigts, lui donnant ainsi une chance de trouver plus facilement. Tante, se rendant compte que c'est la seule echappatoire a son tourment se contracte et finit par me hurler:
Tes doiiiiigts! C'est tes... c'est tes doigts?
Instantanement, j'arrete mes chatouillis et repose delicatement le pied bien malmene sur le carrelage froid. Aussitot aussi, les rires de tante s'estompe et le silence de la piece n'est maintenant plus trouble que par ses haletements. Le temps de lui laisser reprendre ses esprits, je remonte lentement avec le bout de la langue toujours le long de la jambe gauche pour enfin et a nouveau m'abandonner a distribuer bon nombre de bisous sur la fesse deja visitee precedemment.
Cette fois, tante, comme vaincue ne crie plus, ne pleure plus et se contente simplement de me lancer:
-Bon! Aller! Arrete maintenant! C'est deja bien que je t'ai laisse faire jusqu'a present! Tu ne trouves pas?
-Si, bien sur! Mais je te rappelle que mon exploration ne fait que commencer et que j'ai une autre territoire a decouvrir.
Et pour marquer mes intentions, je passe doucement a la fesse droite non sans m'attarder un instant au sein de la raie fessiere, faisant a nouveau naitre chez tante de nouvelles suppliques:
-Oh non! Poussin! S'il te plait! Pas la! Pas... hiiii... pas la! Et... et puis c'est sale!
Moi, au contraire, je trouve l'endroit plutot propre et risque meme de lui ecarter les fesses pour promener le bout de la langue a quelques millimetres de son anus ou je ne detecte d'ailleurs aucune mauvaise odeur. Ravi, je decide donc de m'attarder davantage et me mets carrement a lechouiller l'orifice rose, faisant naitre chez tante de nouveaux frissons tandis qu'elle marmonne a plusieurs reprises:
-Mon dieu! Quelle humiliation!... Tu n'es pas honteux poussin? Me... me lecher ainsi le... mon... oh mon dieu que c'est embarassant! Aller! Arrete ca maintenant!
Cette fois, je ne cherche pas a prolonger ma visite autour du petit orifice et reprend donc de plus belle l'exploration de la fesse droite pour ensuite descendre a nouveau le long de la jambe et, une fois encore attraper la cheville droite pour egalement relever son pied droit et en mettre la plante a bonne hauteur. Comprenant que son calvaire n'est pas termine, tante se remet a crier:
-Ah non! Maintenant ca suffit! Plus mon pied! Plus mon pied! Je ne le supporterai plus! Ecoute poussin, maintenant ca suffit! Les fesses, soit! Les jambes, passent encore! Aller, meme mon trou de balle, je veux encore bien! Mais plus mon pied!
Puis, se radoucissant, elle conclut avec une voix presque sensuelle:
-Tu... tu veux bien poussin ? Aller! S'il te plait!
Mais elle ne peut en ajouter car des le premier passage de mes doigts sur cette nouvelle plante de pied, elle eclate a nouveau de rire non sans avoir tout de meme lance un "Nooooooo-on-on-on!" despespere mais inutile.
Cette fois, tout y passe, du doigt a la fourchette en passant par le manche en bois d'une spatule, par une plume et meme avec un pinceau avant d'utiliser ni plus ni moins que le bout de mon dard gras et luisant. C'est d'ailleurs a ce moment la que j'invite tante a me proposer diverses solutions. Sans doute un peu moins chatouilleuse de son pied droit, elle parvient donc a me lancer:
-Les... les doigts?
-Non! Plus cette fois! Guiliguiliguili! Aller, tu peux trouver quand meme!
-Ta... ta langue?
-Ca pourrait etre ca oui mais ce n'est pas ca! Guiliguiliguili!
A nouveau tante repart dans une crise de rire que je savoure en regardant le ballet frenetique que ses orteils dansent en se recroquevillant avant de se mettre en eventail. Enfin, sentant qu'elle ne trouvera pas, je lui lance un indice:
-Aller tante! Je te chatouille avec quelques choses qui fait partie de moi, de mon corps et qui n'est pas ma langue ni mes doigts! C'est...?
-Hiiiii pas la! Pas laaaa!... Hiiiii! Ton... ton nez?
-Non! Pas ca non plus! Cherche bien! Je suis sur que tu vas trouver. Guiliguiliguiliguili! Hmmmmm que c'est bon comme caaaaa!
A nouveau, tante explose de rire, tellement fort que je decide de mettre un premier terme au supplice, cela afin de lui permettre a la fois de reprendre son souffle et de pouvoir mieux se concentrer pour deviner avec quoi je la chatouille. Soudain, elle semble avoir trouve car elle se raidit, tourne un peu la tete vers moi sans toutefois me voir a cause du masque et me bredouille:
-Ne... ne viens pas me dire que c'est avec ta... avec ton...
-Aller tante! Dis-le si tu le sais... ou je recommence a te chatouiller avec autre chose.
-Oui mais... mais c'est aussi embarrassant de le dire que de me retrouver comme ca devant toi tu sais!... Bon... c'est... c'est avec ton... ton penis?
-Tu as trouve tante! C'est bien!
Et pour prouver que je ne triche pas, je depose a nouveau le pied a meme le sol, rassurant ainsi tante que son supplice est bel et bien termine. Mais je constate aussi combien il lui en a coute de designe l'outil de son tourment tant ses joues sont en feu de confusion. Mais ca ne l'empeche pas cette fois de continuer:
-Cochon que tu es! Venir me toucher avec ton... avec ta... mon dieu quelle horreur! Et... et je parie que... est-ce que par hasard tu n'aurais pas enleve d'autres vetements que ton blouson tout a l'heure?
-Effectivement oui! Quelques uns! Mais tu me permettras de garder le secret jusqu'a la fin du jeu! D'accord?
-Hein? Pourquoi? C'est... c'est pas fini?
-Bien sur que non! Tu sais, dans toute exploration, il y a toujours une foret a decouvrir non? Et dans toute foret coulent des ruisseaux, pas vrai? Et tu vois, Max, maintenant, bin il a peu soif et si il ne trouve pas une source, bin... il est foutu!
Et sans laisser a tante le soin de reflechir, je lui attrape a nouveau les hanches pour la faire se retourner face a moi et me permettre a present de decouvrir et d'admirer en rebandant de plus belle son mont de venus velu, cette fameuse foret qui, bien sur, cache une source qui ne demande qu'a couler. Comprenant ma nouvelle mais non des moindres intention, elle croise instantanement les jambes, tente meme de se replier sur elle meme pour cacher son intimite en me lancant d'une voix a present paniquee:
-Nooon! Pitie poussin! Noooon! Tu... tu ne vas tout de meme pas...! Pas ma... pas mon... oh mon dieu que je me sens mal! Non! Poussin! Non!
Et a nouveau, elle recommence a pleurer de honte. Elle tente bien une premiere fois de m'empecher de lui ecarter un peu les cuisses mais, bien vite vaincue, elle se resoud a me laisser faire. Un instant, je promene mes doigts tremblants d'excitation dans la foret de ses poils noirs et legerement frisottes. Tout en poursuivant ma visite, je leve un peu les yeux vers elle pour constater que si des larmes coulent encore de ses yeux caches, elle ne pleure deja plus et que sa respiration s'emballe tout doucement. A mon tour je m'abandonne et, ecartant delicatement ses levres vaginales a l'aide de mes doigts, commence a promener ma langue autour de son petit clitoris qui, sous l'assaut de mon organe buccale ne tarde pas a durcir et a grossir tout en s'humidifiant. Une derniere fois tante tente bien de me dissuader de continuer a la taquiner de la sorte mais bien vite son subconcient la trahit:
-N... noo pou... houuu... poussin! Noooon! Ar... arr...arrete! Hmmmm! Hooooo! Oh oui! Laaaaa! Ca c'est... c'est booooon! Ouiiiii ! Enc… encore !
Enfin consentante, elle ecarte d'elle meme les cuisses, me guidant meme sur les endroits et les frequences de mes titillants coups de langue; Comme je l'esperais, la cadence respiratoire de tante s'emballe en meme temps que la frequence de ses gemissemnts et que le taux d'humidite de son sexe. Le Max que je suis se regale et se met maintenant a sucer avidement le bouton devenu turgescent, au gout un peu acidule tout en introduisant delicatement un majeur inquisiteur dans son vagin a la recherche du point G que je ne tarde d'ailleurs pas a trouver. Cette fois, tante n'en peux plus, donne meme des coups de reins cadences par des "Oui! Oui! Oui! Cont...continue comme ca! Bien sur, Max non plus ne sait bientot plus se controler car il en arrive, toujours sans s'arreter de masturber sa prisonniere a ote le peu de vetements qu'il lui restait avant de se masturber lui aussi. Sans doute tante s'en rend-t-elle compte car entre deux gemissements elle parvient a me demander:
-N... non! At... attends! Ne... ne te mast... ne te masturbe pas tout... tout de suite!... Fais... fais moi d'abord venir une prem... une premiere foiiiiiis!
Visiblement tante veut me faire une surprise et, impatient de la decouvrir, arrete instantanement de m'astiquer pour a nouveau entierement me consacrer a elle et a l'orgasme que je fais naitre en elle.
Il est bien visible que tante n'a plus eu ni de rapport ni de partenaire depuis longtemps et la facon dont elle m'incite a la faire venir frise l'impatience. Effectivement, peu de temps apres, presque sans que je m'y attende, tante se raidit, pousse un rale, ecarte encore plus les cuisses et lache un impressionnant flux de cyprine avant de s'abandonner dans un soupir retentissant suivi d'une respiration desordonnee. La je suis presque comme un fou en train de boire a cette fontaine qui m'a inonde le visage.
Un instant, apres avoir depose quelques derniers bisous sur ce sexe trempe et rougi par l'orgasme, je me recule pour admirer tante en nage qui pend au bout de ses liens. Bien sur, je pourrais dire que le jeu n'est pas encore termine et qu'il me reste deux montagnes a explorer mais je prefere en rester la, les nichons n'etant pas ce qui m'excite le plus et surtout etant maintenant impatient de decouvrir la fameuse surprise de tante.
Une fois detachee, elle ote le masque, me decouvre alors completement nu en lui mettant sous le nez un dard comme sans doute elle n'en a plus vu depuis longtemps et, malgre le rouge qui empourpre ses joues, s'accroupit a son tour devant moi et se met tout d'abord a lecher timidement mon vit baveux. Mais elle ne tarde pas a prendre de l'assurance et se met maintenant a me soupeser egalement les bourses, faisant ainsi redoubler le plaisir qui monte en moi. Soudain, comme n'y tenant plus elle aussi, elle me gobe et, tout en me sucant s'arrache presque son chemisier pour se titiller le bout d'un sein tandis qu'ecartant encore plus les cuisses elle se sert de son autre main libre pour se faire a nouveau mouiller. Tout est maintenant conjugue pour me faire jouir, ce que je fais en lachant a plusieurs reprises de puissantes ejaculations dans la gorge de tante qui, goulument, va meme jusqu'a boire mon sperme.
Remis de nos emotions, elle se redresse et vient deposer un baiser sur ma bouche avant de me sussurer:
-Cochon que tu es! Ah, on peut dire que tu caches bien ton jeu, dis-moi! Et ca n'a meme pas encore seize ans? Ca promet! Et si ta mere savait ca?
-Tu le lui dirais?
La tante, occupee a remettre ses vetements, marque une pause avant de reprendre:
-Hmmmmm! Faudra que j'y reflechisse! Oui, j'ai bien envie de lui raconter tout ca!... Mais d'un autre cote, houlalaaaa, qu'est-ce que c'etait bon! En tout cas, si on m'avait dit qu'un jour autant d'humiliation pourrait devenir du plaisir?... Bin merde alors!
Et devant mon air perplexe quant a sa decison de tout balancer ou non, elle eclate soudainement de rire avant de conclure:
-Mais non hein grand beta, je ne vais rien dire a ta mere! Hahahahaha! Si tu voyais ta tete!... Mais attention, hein, j'y mets toutefois une condition.
-Une... une condition? Laquelle?
-Que la prochaine fois ce soit toi qui prenne ma place et que ce soit une amie qui prenne la tienne! D'accord?
Il ne me faut qu'un bref instant pour accepter et voir s'agrandir le sourire de tante tandis que je vois a present bruler dans ses yeux brillants une flamme qui ne s'y trouvait pas a mon arrivee.

 

Bien que ce recit soit une pure fiction ou plutot le deroulement d'un fantasme que je realiserai sans doute un jour, la tante existe bel et bien. Et pour vous recompenser d'avoir lu jusqu'au bout, en prime, une jolie photo des fesses de cette derniere, photo prise lors d'un BBQ passablement arrose d'ailleurs.

 

Max Explo Tante

 

Comment ne pas avoir envie de jouer a Max l'Explorateur avec une femme qui possede des fesses pareilles hein?

Par Petit pervers - Publié dans : Soumission
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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 11:17

Prologue

 

Ben, un ami de Didier, a un pharmacien pour pere. Alors qu'il cherche un remede miracle pour divers maux, il se trompe et fabrique une potion qui a l'etrange pouvoir d'effacer les souvenirs et de rendre docile quiconque en boit et cela durant plusieurs heures. Si le pere n'y voit la aucun interet, il n'en va pas de meme de Ben qui, aussitot, decouvre tout le parti qu'on peut tirer d'un tel breuvage de surcroit incolore et insipide donc indetectable. Apres l'avoir testee sur sa propre mere, il en refabrique en cachette et en fait bien evidemment profiter son meilleur copain Didier qui, on s'en doute, en abuse plus qu'il n'en use.

 

Tante V ou la potion de soumission

 

Quatorze heures vient de sonner. Comme tous les mercredis, je range le materiel de l'option complementaire de dessin que Pierre et moi avons choisie. Pierre, il faut bien le dire est mon meilleur copain, un copain qui n'a jamais eu beaucoup de chance et qui vit seul avec une mere qui le supporte plus qu'elle ne l'aime. Pour celui qui le sait, ca explique bien sur le manque d'entrain qu'il met a ranger ses affaires pour rentrer chez lui.
Moi, c'est tout le contraire. Je suis plutot presse de rentrer chez ma tante V, celle qui s'occupe de moi depuis bientot six ans, depuis la disparition accidentelle de mes parents.
Tante V, trente-huit ans, c'est soixante douze kilos pour un metre soixante deux, des rondeurs genreuses la ou il faut, celibataire et sans enfants. De l'ecole a son appartement trois pieces, il y en a pour a peine dix minutes.
Je m'apprete a quitter les lieux quand je propose a Pierre, Pierrot comme je le surnomme:
" Le gouter chez ma tante, ca te dit?".
Pierrot releve la tete, me sourit et rassure de ne pas devoir rentrer tout de suite chez lui, accepte.
Lorsque tante nous ouvre, Pierrot decouvre donc ma tante tel que je vous l'ai decrite et vetue d'un chemisier courtes manches jaune, d'un pantalon bleu, les pieds enfiles dans des chaussettes grises et enfuits dans des charentaises. Pour terminer le tout, un petit tablier de menage a bavette est noue autour de sa taille. C'est donc quelque part une menagere ordinaire que je presente a Pierrot, loin encore d'imaginer ce que j'ai envie de lui faire reellement decouvrir.
Elle nous invite a nous installer et, certaine de nous savoir assoiffe, nous verse trois verres de lait, la boisson type de la maison. Tandis que Pierrot sirote le sien, j'interroge tante:
" Ne dirais-t-on pas que ta chasse d'eau coule encore tante?".
Tante V tend l'oreille, me regarde en froncant les sourcils et demande:
" T'en es sur? J'entends rien pourtant!... Mais il vaut mieux verifier".
Comme je m'y attendais, elle se leve et se dirige vers la salle de bain au bout de laquelle se trouve le WC. Je connais tante V et je sais qu'une fois la-bas, comme pour ne pas y etre allee pour rien, elle va satisfaire un petit besoin et tirer cette chasse pour me prouver que j'ai eu tort. C'est plus de temps qu'il n'en faut pour sortit une petite fiole de ma poche, oter le bouchon et verser une dizaine de gouttes du liquide incolore qu'elle contient dans le verre de ma tante.
"Mais qu'est-ce que tu...".
Mais deja, un doigt sur la bouche en rangeant mon flacon, je fais
"Chut!... Rien de grave! rassure-toi!... Disons que c'est une... oui... une surprise".
Rassure, Pierrot garde le silence et voit tout comme moi Tante revenir des toilettes, s'asseoir a la table qui sert a la fois de table de cuisine et de salle a manger et empoigner son verre de lait pour en boire trois grosses gorgees. Pierrot ecarquille les yeux, pensant voir tante recracher son lait et me voir m'esclaffer de cette bonne blague mais non, tante repose son verre et, sans avoir rien remarque, demande:
" Alors, c'est donc toi le fameux Pierrot? Didier me parle souvent de toi!... J'ai cru comprendre que vous etiez les meilleurs copains du monde, c'est bien ca?".
Pierrot, qui en est maintenant a se demander ou se trouve ma surprise dans tout ca bredouille:
" Heu... oui, madame!... On... c'est vrai qu'on s'entend bien et qu'on nous voit souvent ensemble Didier et moi.".
Tante boit encore deux gorgees et enchaine:
" Et cette journee a l'ecole... racontez-moi!".
Je prend la parole et commence a expliquer d'une voix un peu blasee:
" Bin comme d'hab'. Aujourd'hui, on a eu deux heures de fourche!... Ce grand dadais qui nous sert de prof de math etait absent!".
Pierrot sourit et enchaine:"
C'est vrai que c'est un gars tres cale dans sa branche mais pour le reste, c'est pas ca!... Et sa facon de s'habiller, on croirait qu'il habite toujours chez sa moman".
Nous nous mettons a rire tous les trois puis, le calme revenu, tante fronce les sourcils, pose la main sur son front et demande a mi-voix:
" Tiens!.. De quoi on parlait encore?".
C'est le signal, celui qui m'indique que la potion que j'ai verse fait son effet et que tante me sera totalement devouee a partir de la minute qui suit. Pierrot, en gentil garcon qu'il est enchaine:
" Nous parlions de l'ec...".
Je le coupe aussitot en lancant:
" Bin... je ne sais plus non plus tante!... Bah, ca te reviendra!... Et si tu nous preparais ton chocolat chaud, celui que tu fais toi-meme!".
Puis me penchant vers Pierrot j'ajoute a voix basse:
" Attention... ca va bientot etre la surprise!".
Je vois dans ses yeux qu'il ne comprend rien mais lui fait signe de patienter, ce qu'il fait en regardant tante se lever, aller a sa table de travail et commencer a raper le chocolat noir necessaire a la preparation du breuvage. Tandis qu'il la regarde, je me penche et demande:
" Dis-moi Pierrot... ton avis... Les fesses de tante, tu les trouves comment?".
Pierrot se tourne vers moi, eberlue, rougissant meme et bredouille:
" Les... les fesses de... de ta tante?... Bin... heu... c'est pas ca que je regardais donc...".
Je souris et lui lance:
"Menteur va! Aller, dis-moi!".
La, Pierrot est oblige d'avouer et lance a voix basse pour ne pas etre entendu de tante:
" C'est... c'est vrai qu'elle... qu'elle a un joli popotin en tout cas!.
"C'est aussi mon avis!".
Pierrot reprend son verre, le porte a ses levres et manque de s'etrangler quand je lui lance a l'oreille:
" Ca te plairait de les voir en vrai?".
Tante se retourne, lance un sourire condescendant a Pierrot et s'exclame:
" Attention mon garcon!... C'est comme ca qu'on avale de travers!... Ca va?".
Pierrot s'essuie du revers de la main et, visiblement embarasse, bredouille une fois encore:
" Ou... oui oui, ma... madame. Ce... c'est ma faute. Je... j'ecoutais la derniere blague de Didier!".
Rassuree, elle nous tourne a nouveau le dos et se remet a la tache. Je reitere ma question:
" Je te demande... ca te plairait de les voir en vrai?".
Pierrot, naivement, me lance alors:
" Tu rigoles? Elle ne voudra jamais!".
Goguenard, je me redresse et lance:
" Tu paries combien?".
Puis me tournant vers tante, j'enchaine:
" Tante? Tu n'enleverais pas ton pantalon?... Et tant que tu y seras, tu nous enleveras aussi ta petite culotte que mon copain puisse admirer tes jolies fesses!".
Aussitot, tante depose le chocolat et sa rape et sans aucune hesitation ote tour a tour les deux vetements designes, offrant ainsi a un Didier triomphant de son pari et un Pierrot suffoquant sa splendide paire de fesses rondes et roses dans la raie desquelles se coince deja le ruban du tablier. Je lance a Pierrot un " Alors? Tu les trouves comment?" mais ce dernier reste bouche bee durant un long moment avant de se tourner enfin vers moi, les joues pourpres, un sourire beat lui deformant la figure et avouer enfin:
" Qu'elles... qu'elles sont... holalaaaaa... belles!... Mais... mais ca ne lui fait rien de rester comme ca le... cul tout nu?... Et devant nous?".
Pour toute reponse, j'exhibe le petit flacon et le balance devant son nez en chantonnant:
" Surprise! Surprise!".
La, Pierrot comprend que l'attitude de tante n'est evidemment pas naturelle et que la potion y est pour quelque chose. J'aimerais deja lui expliquer son fonctionnement mais me dit qu'il sera encore temps plus tard dans l'apres-midi et invite mon ami a de nouveau profiter du spectacle. Ce dernier ne tarit pas de commentaires, surtout au moment ou tante, reprenant sa rape, recommence son mouvement de va et vient avec le bloc de chocolat, faisant du meme coup trembloter et balancer delicieusement ses fesses. Pierrot ajoute meme, comme si je ne l'avais pas remarque:
" T'as... t'as vu comme elles balancent bien?... Holala... qu'elle est excitante comme ca!".
Je ne peux qu'acquiescer mais j'ajoute:
" Tu ne trouves pas que sa tenue a egalement un cote... comique, voir humiliant comme ca le cul nu mais en ayant garde le haut, ses chaussettes et ses pantoufles?".
La Pierrot s'esclaffe et enchaine:
" Si, c'est vrai! Hihihihihi! C'est vrai, t'as raison!... Et si on lui demandait de les enlever?".
Mais mon idee est autre et je l'arrete simplement en declarant:
" Hmmmm.... non! Pas encore! Profitons plutot du spectacle!.... Je ne sais pas toi mais moi, ca me fait deja bander! Pas toi?".
Il serait vain de la part de Pierrot de mentir car j'ai deja remarque la bosse impressionnante qui deforme son pantalon, bosse qu'il tente pudiquement de dissimuler depuis la premiere seconde de cette insolite surprise.

 

Tante V


Durant un long moment donc, nous admirons en silence le popotin de tante, agite de nouveaux balancements et de  nouveaux tremblotements tandis qu'elle incorpore le chocolat rape au lait chaud a l'aide d'un fouet. Afin de mettre Pierrot totalement a l'aise, je sors mon membre raide comme une trique et, doucement, commence a me masturber. En decouvrant ma nouvelle activite, Pierrot rougit de plus belle mais finit par ceder et lui aussi se met a s'astiquer. Il y met tant de vigueur que je dois meme le calmer en lancant:
" Hola!... Pas si vite! Profite!... La journee n'est pas terminee".
Comprenant qu'il faut effectivement faire durer le plaisir, il se domine, se relache un peu et, tout comme moi, masse doucement son membre libere du pantalon ou il s'etait retrouve a l'etroit.
Enfin, le chocolat est pret et tante revient vers nous avec un large sourire, tenant d'une main deux bols et de l'autre un poelon fumant du delicieux breuvage. Une fois les bols poses devant nous, tante s'apprete a servir notre invite en premier mais je l'arrete:
" Non! Tante! Moi d'abord!".
Docilement, tante obeit et vient se placer a mes cotes pour remplir doucement mon bol. Sans coup ferir, je sors une main de dessous la table et, sans scrupule, me mets a caresser et petrir le posterieur de tante qui, loin de s'offusquer et de s'eloigner une fois mon bol plein, se laisse faire en gemissant doucement et me me sussurant un "Oh bin toi alors!... Didier, non, pas la!".
Mais je n'oublie pas la presence de mon ami et libere tante pour qu'elle puisse a son tour le servir. Tandis qu'elle verse le liquide dans le bol de Pierrot, je comprends que ce dernier hesite a m'imiter. Aussi je prends les devants et declare une fois le bol plein:
" Attends tante! Reste la!... Aller Pierrot! Qu'est-ce que t'attends? Vas-y! Aller!".
Enfin, il avance une main tremblante et, en bandant de plus belle, caresse timidement la fesse gauche de tante. Pour l'encourager, je demande:
" Et comme ca? Tu les trouves comment? Poigne dedans! Oui, vas-y! Poigne bien! Elles sont encore ferme hein pour une femme de son age!".
Visiblement, c'est la premiere fois que Pierrot voit une fesse feminine d'aussi pres et surtout qu'il la touche! Mais peu a peu, il trouve de l'assurance et lance:
" En tout cas, qu'est-ce qu'elles sont douces!"
Puis deposant meme un baiser sur la plus proche, il enchaine:
" Et qu'est-ce qu'elles sentent bon en plus!".
Une fois encore je ne peux qu'acquiescer et le laisser peloter tante a sa guise. Enfin, il retire sa main et, timidement, presque en baissant les yeux, bredouille:
" Dis! Tu... y a un truc que j'aimerais bien... enfin, tu veux bien qu'elle... qu'elle me montre sa... sa chatte?".
Un instant, je pense faire languir mon ami mais devant tant de candeur, je craque et ne peux qu'acceder a sa requete declarant:
" Bien sur! Aller tante, souleve ton tablier et montre ton minou a Pierrot.
Aussitot ce dernier ouvre de grands yeux et s'exclame simplement la bouche en cul de poule:
" Rhoooooo.... Rhooooo qu'elle... qu'elle est belle!... Et pas trop poilue en plus!".
La encore, je le laisse contempler le minou de tante puis lui annonce:
" Tu peux toucher si tu veux! Aller! Vas-y!".
Cette fois, je sens Pierrot deja plus en confiance car il n'hesite presque plus et plonge doucement le bout des doigts dans la toison pubienne de tante pour peu a peu arriver pres des levres vaginales. Tante, sous la caresse, tressaille, incitant ainsi Pierrot a recommencer son exploration et a la pousser a chaque fois un peu plus loin.
Mais je le ramene a la realite en constatant:
" Tu ne crois pas qu'il serait temps de boire notre chocolat? Il va refroidir!".
"Hein?... Heu quoi?... Le?... Ah oui, le chocolat".
Il cesse donc ses attouchements, liberant du meme coup tante qui s'eloigne avec son poelon presque vide. Tandis que nous sirotons la bonne et chaude boisson, je propose alors:
" Tu aimerais qu'elle montre ses nichons maintenant?".
Cette fois, Pierrot trepigne et le visage eclaire d'un nouveau et large sourire, il crie presque:
" Oui! Oui bien sur! Et puis j'ai trop envie de voir comment ils sont!".
Sans attendre, pour satisfaire a ma requete, tante se tourne a nouveau vers nous et, toujours avec autant d'assurance, enleve tout d'abord son chemisier avant de faire jaillir du soutien gorge que je lui demande de garder deux sublimes nichons ronds et fermes aux tetons bruns et arrogants. En decouvrant cette nouvelle merveille, Pierrot repart de plus belle dans sa masturbation et ne peut une fois encore que s'exclamer sur leur tenue et leur beaute. Mais deja, j'intime l'ordre a tante d'oter le sous-vetements et d'enlever son tablier, l'obligeant ainsi a se presenter a nous completement nue a l'exception de ses chaussettes et de ses charentaises qui confere a sa tenue un cote tout aussi humiliant qu'excitant.
Tout en buvant notre chocolat, j'offre alors a Pierrot le spectacle de ma tante obligee de se presenter devant nous pour etre a nouveau pelotee pour ensuite devoir tour a tour danser, se tremousser et sautiller devant nous, rendant ainsi aux yeux de Pierrot, au bord de l'apoplexie, le spectacle de ses formes bondissantes encore plus excitant.
Le spectacle est d'ailleurs si bandant pour lui qu'il ne peut s'empecher d'accelerer sa vigoureuse masturbation pour soudain se figer, le regard vague et ejaculer abondamment dans un mouchoir sorti in extremis de sa poche, tout ca en poussant un long grognement de satisfaction.
Remis de ses emotions et de cette explosion de plaisir, il s'attend a etre congedie pour devoir rentrer chez lui mais je le retiens et l'incite a rester en decidant cette fois de lui expliquer comment tout ce qu'il vient deja de vivre est possible. C'est donc avec autant d'attention pour mon recit que pour tante qu'il continue d'observer du coin de l'oeil, occupee maintenant a faire sa vaisselle apres avoir remis son petit tablier, evidemment trop petit pour pouvoir pretendre cacher sa totale nudite, qu'il m'ecoute. Je lui explique donc le pouvoir de cette potion il faut bien le dire miraculeuse, potion qui, une fois ingeree, rend le sujet docile comme un agneau, cela durant toute une journee, insistant egalement sur le fait que le sujet, des le lendemain, ne garde heureusement aucun souvenir de ce qui lui a ete demande et fait la veille.
Une fois mon explication terminee, il se met presque a solliloquer, comme pour bien retenir une lecon:
" Donc si je comprends bien, tu donnes cette potion a ta tante, a son insu bien sur et apres quelques minutes, tu peux tout lui demander et ca durant toute une journee en plus?... Et tout lui faire aussi?... C'est vraiment genial ca! Oui, vraiment genial!".
La, il marque une pause puis, a nouveau timidement, il demande:
" Avant... avant de partir, je... j'aimerais encore faire un truc qui... enfin que j'ai toujours eu envie de faire!... Tu... tu veux bien?".
Je rassure aussitot Pierrot car c'est avec un bon sourire de condescendance que je lui annonce:
" Et avec ma tante, je parie, c'est ca?". A nouveau, Pierrot se trahit par l'empourprement de ses joues et avoue:
" Oui... enfin avec une femme... pas forcement elle, bien sur!".
Pour toute reponse, je l'invite d'un geste a prendre seul la tete des operations, impatient de voir de quoi est fait son fantasme.
C'est donc tout d'abord maladroitement qu'il ordonne a tante de venir se mettre a quatre pattes sur les mains et les genoux sur la petite table du salon proche, position qui semble aussitot le reexciter au plus haut point a en juger par sa nouvelle et toute aussi vigoureuse erection. Durant de longues minutes, comme semblant ne jamais vouloir s'en lasser, il laisse ses deux mains aller et venir sur le corps nu et soumis qui lui est offert, soupesant ici un nichon, flattant la une fesse pour de temps en temps passer une main entre les cuisses et venir caresser le pubis de tante, faisant visiblement un gros effort pour ne pas ceder a l'envie de masturber cette chere femme qui n'est desormais plus qu'un jouet entre les mains de mon ami.
Enfin, il modere le rythme, semble meme se lasser mais ne manifeste pas encore l'envie de liberer son esclave. Je sens que son bonheur n'est pas totalement complet et qu'il manque encore quelques choses a la totale realisation de ce dernier. Je m'apprete a lui en demander la cause quand il me lance soudain:
" Ta tante, elle... elle est chatouilleuse?".
Repondant pas l'affirmative, je fais renaitre sur son visage un sourire de satisfaction retrouvee tandis qu'il avoue:
" Je... j'ai toujours reve de... de chatouiller et de lecher les plantes des pieds d'une femme!".
La encore je ne peux me resoudre a lui refuser cette nouvelle faveur et lui lance un simple "Mais je t'en prie" en designant tante, toujours honteusement installee sur la petite table.
C'est avec des doigts tremblants d'excitation que Pierrot ote une apres l'autre les charentaises et les chaussettes de tante pour s'offrir la vision de deux plantes de pieds roses et delicatement plissees terminees par la rangee reguliere des orteils dodus mais parfaits qui caracterisent les petons de ma tantine. Si il commence par humer le leger fumet qui se degage, Pierrot ne tarde pas a en juger la sensibilite en promenant d'abord un doigt, puis deux pour ensuite avec un sourire sadique, empoigner les chevilles de tante et gratouiller de plus en plus ferocement les deux plantes de pieds maintenants agitees de soubresauts mais que l'etreinte de mon copain mettent dans l'impossibilite d'esquiver les atroces chatouillis. Peu a peu, les rires de tante deviennent plus saccades, plus hoqueteux et entre coupes de suppliques qui excitent evidemment encore plus Pierrot qui maintenant ajoute a sa torture de nombreux et goulus coups de langues tantot sur les fesses tantot sur les pieds de sa prisonniere.
Mais a nouveau, il ne controle plus son excitation et, reprenant d'une main son vit violace par la puissante erection dont il est l'objet, il se remet a se masturber pour bien vite lacher pour la seconde fois de longs jets de semence sur les pieds et les fesses de celle qu'il a fait tant souffrir.
Je juge donc opportun de rendre a tante sa liberte, laquelle est renvoyee a ses fourneaux, cette fois completement nue a l'exception toutefois du degradant tablier. C'est la que je decele dans le regard de Pierrot a la fois le plaisir d'avoir enfin pu vivre son plus beau fantasme et le regret que ce dernier soit deja termine.
Au moment de me quitter, il se retourne sur le pas de la porte, me remercie mais semble trainer comme dans l'attente d'un geste de ma part. Je ne mets qu'une seconde pour comprendre ce qu'il aimerait. Je plonge donc la main dans ma poche, lui tend le petit flacon et lui lance:
" Tu me le rendras demain!... Amuse-toi bien avec ta maman!"
C'est d'un pas presse que je le vois s'eloigner, comme impatient de mettre un nouveau et tout aussi excitant projet a execution. J'apprendrai peu de temps apres que ce que tante avait subi avec nous n'etait rien compare a ce qu'il avait fait endurer a sa mere en matiere d'humiliations bien sur mais aussi de bondages divers et bien evidemment de tortures en tout genre, principalement sur les plantes de pieds.

Par lespetitspervers.erog.fr - Publié dans : Soumission
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  • : Un garconnet de treize-quatorze ans, aide par son petit frere ainsi que par quelques copains tous aussi demoniaques et pervers que lui, fait de ses tantes, voisines, de sa mere aussi ainsi que de ses institutrices, bref de toutes les femmes victimes par exemple de son chantage de vraies souffre douleur dont le lot est d'etre humiliees, bafouees et parfois meme aussi torturees a souhait.
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