Les Petits Pervers

Depuis un bon bout de temps, je soupçonnais Tonton de jouer a des jeux un peu spéciaux avec Tante. J’avais rapidement compris que ce qu’il préférait par-dessus tout était d’humilier tante en la soumettant a tout un tas d’extravagances.

Comme je m’en étais bien évidemment aperçu, il avait même fini par me mettre dans la confidence en m’expliquant quelques unes des humiliations qu’il aimait faire endurer a Tante.

La panoplie était vaste et allait de la simple obligation pour tante de faire ses courses cul nu sous sa robe jusqu'à la contraindre a faire son ménage toute nue pendant que j’étais a l’école. Il lui arrivait même de me faire plaisir en m’autorisant a venir coller mon œil au trou de serrure de la salle de bain pendant que tante faisait sa toilette. Mais c’était sans compter sur l’énorme récompense qu’il me donnait enfin en m’autorisant a créer et imposer moi-même une humiliation supplémentaire a tante.

En présence de tonton, j’invitais tante a se rendre au jardin et a se placer a quatre pattes au beau milieu de la pelouse. Ne portant bien sur pas de petite culotte sous sa petite robe jaune, cette position permettait bien évidemment d’admirer ses deux petites fesses. Jusque la, rien de bien terrible en somme si ce n’était le fait que tout le voisinage pouvait l’apercevoir en si fâcheuse posture.

Au bout d’un moment, je passais a la deuxième partie de mon projet et imposait a tante de cambrer les reins, l’obligeant ainsi a pointer ses fesses vers le ciel. Pendant qu’elle s’exécutait en grimaçant de honte de devoir m’obéir, je répétais :

« Plus haut les fesses ! Plus haut !... Encore !... Encore ! ».

Enfin, satisfait de constater que le bas de sa robe, en glissant sur ses reins, dénudait complètement ses fesses, je m’exclamais d’un air moqueur :

« Voila ! Comme ca c’est mieux !... Beaucoup mieux ! »

C’est la que tonton me lançait d’un air un peu déçu par ce qu’il pensait être un manque d’imagination :

« Et c’est tout ? »

C’est la que je le rassurais en prenant un air mystérieux et que devant son air a présent perplexe, je sortais de ma poche un petit pot de confiture. D’un air mi-étonné, mi-amuse, il me regardait déposer ici et la  sur les fesses de tante de nombreuses petites quantités de matière poisseuse et sucrée, petites quantités que j’étalais ensuite du bout des doigts jusqu'à en couvrir la peau frémissante d’un mince film.

C’est en m’entendant appeler le chien qu’il comprenait soudain et me lançait en riant :

« Nooon !... Tu ne vas tout de même pas laisser cette brave bête lui… »

Auquel je répondais d’un signe de tête affirmatif, mon visage illumine par un large sourire :

« Mais si !... Originale mon humiliation, non ? »

Et c’est en bandant de plaisir que nous nous sommes délectés du spectacle du chien léchant les fesses de tante, écarlate de honte et obligée de garder le silence afin de ne pas attirer l’attention du voisinage.

Je n’étais évidemment pas peu fier de recevoir les félicitations de tonton pour ce premier et original coup d’essai.

C’est ce jour la que j’apprenais aussi de la bouche de tonton que tante était hyper-chatouilleuse des pieds !... Si je l’avais su avant !... Mais ce n’est que partie remise, bien sur !