Les Petits Pervers

Ma tante Andrée, vous vous souvenez, celle a qui j'avais reussi a chatouiller les plantes de pieds apres les avoir immobilisees a l'aide d'un lit de camp? Oui? Et bien, cette fois, c'est un autre de mes fantasmes qu'elle a enfin accepte de realiser devant moi et pour moi.

Depuis toujours, je reve de voir une femme nue en tablier vaquer a ses occupations domestiques autrement que par le biais de l'imagination ou de photos trouvees ici et la sur le net. Et, sans trop m'en rendre compte, alors que je me trouve chez elle pour lui souhaiter l'an neuf, en parlant de choses et d'autres, de nos souhaits respectifs surtout, mon fantasme fait surface.

Je sens que j'en ai trop dit et je risque le tout pour le tout. En prenant le ton de la rigolade, je lui demande si, par hasard, elle serait disposee de me satisfaire un jour. Et la, je tombe des nues quand je l'entends accepter avec quelques conditions toutefois, une seule photo pour mon blog, ne pas voir son visage et enfin pouvoir garder ses souliers, preferant alors sans doute ca aux chatouilles.

Mon sang ne fait qu'un tour et je me rue sur son appareil photo. Une seule photo? Soit et c'est celle ci-dessous qui aura ma preference, tante de dos comme convenu prise au moment ou elle ote enfin sa culotte, offrant a nos yeux ravis ses fesses rebondies autant que le spectacle de la menagere tant convoite et qui me font d'ailleurs instantanement bander.

C'est donc ainsi que durant l'heure que durera ma visite chez elle, cette brave tante Andree me servira le cafe, m'offrira ses bonnes galettes et attaquera meme la preparation de son repas du soir. Mon fantasme enfin realise, je ne peux que contempler la scene en ne cherchant meme plus a dissimuler la bosse impressionnante qu'une erection toute legitime provoque au creux de mon pantalon. D'ailleurs, cette derniere etant a la mesure du plaisir que je ressens, j'ai meme un moment craint de purement et simplement ejaculer. L'envie aussi de sortir mon dard est grande mais je m'en abstiens, jugeant deja bien le fait que ma tante ait accepte de se promener ainsi presque toute nue en ma presence.

Lorsque je prend conge, elle s'empresse toutefois de se revetir en m'avouant meme avoir ressenti une gene intense a avoir accepte de realiser mon insolite fantasme surtout au moment ou, penchee dans son armoire pour sortir une boite, elle se rend compte qu'elle m'offre outre le spectacle de ses fesses, la vue furtive mais o combien emoustillante de ses levres vaginales. Mais je vois aussi que dans le sourire qu'elle me tend, l'envie de recomencer un jour est perceptible. D'ailleurs, l'aurait-elle fait si ca n'avait pas ete le cas?

J'ai pour manie de fouiller dans les affaires privees des gens! C'est comme ca qu'il m'arrive de decouvrir des secrets, certains charmants et mignons, d'autres beaucoup plus etranges ou meme delictuels.

C'est le cas pour cette chere Mme Frank, notre prof d'anglais, dont j'ai decouvert une partie de passe tres peu glorieux, voire carrement sordide.

Certain que personne n'en connait la teneur, je fais donc une copie de tous les documents que je peux trouver et decide de les utiliser en ma faveur, a savoir humilier cette brave dame devant tous mes copains et dans sa propre classe bien sur.

Des son arrivee, je lui parle de son passe. Evidemment, elle nie en bloc mais lorsque je lui montre les precieuses coopies, son sourire s'efface et c'est en balbutiant qu'elle finit par accepter d'echanger mon silence contre mes quatre volontes. Quatres? Non, une seule, l'obliger a se deshabiller ici et maintenant devant toute la classe.

Apres un moment d'hesitation, elle soupire, le visage bleme et commence alors son humiliant strip-tease, strip-tease que je tiens alors a diriger.

Tandis qu'elle deboutonne son chemisier afin de l'enlever, on peut alors deja entendre les premiers murmures approbateurs de mes copains de classe dont certains n'hesitent d'ailleurs pas a deja se mettre a l'aise pour apprecier l'excitant spectacle qu'ils se preparent a visionner.

Alors qu'elle n'en est encore qu'au debut de son humiliante punition, Mme Frank doit deja affronter en plus de sa situation, nombre de quolibets et de commentaires plus ou mpoins deplaces sur l'aspect de sa poitrine qu'elle n'a d'autres choix qu'a devoiler aux yeux de tous.

Bien sur, on sent cette brave dame pressee d'en finir et son chemisier a peine ote, elle s'attaque deja a son soutien. Mais, connu pour mon sadisme et mon esprit demoniaque, je l'arrete net et lui intime l'orde de continuer a se mettre toute nue mais en otant d'abord le bas!

Desemparee par  mon ordre, c'est de ses mains tremblantes et maladroites qu'elle commence alors a baisser sa petite culotte devant les yeux brillants de plaisir de mes copains.

Et lorsque je lui ordonne de se tourner afin de bien montrer ses fesses a toute la classe, c'est literallement un concert de commentaires qui brise le silence jusque la quasiment religieux de la classe. De ci de la, on entend plus que des "Holalaaaaa" ou des "He, les gars, z'avez vu ca?" ou encore "Bin ca alors! Si on m'avait dit que je verrais un jour ma prof se mettre a poil ici devant nous?", autant de remarques qui ne font qu'accroitre le sentiment deja grand d'humiliation que je fais ressentir a notre brave professeur.

Si les amateurs de fesses semblent nombreux parmi l'assistance a present passablement excitee, je n'en oublie pas moins les convenances et oblige ensuite durant un moment Mme Frank a se livrer a quelques jolies exactions comme entre autres se caresser les bouts de seins pour ensuite se les soupeser devant toute la classe.

Mais l'heure passe vite il me faut trouver une finale digne de ce nom au beau spectacle qu'elle nous a offert. J'oblige donc mme Frank a nous presenter genereusement ses fesses et de rester ainsi sans bouger tandis que j'invite tacitement les copains desireux de le faire a se masturber sans scrupule face aux sanglots que la pauvre femme laisse finalement et a mon grand plaisir echapper de sa gorge. 

Un moment, je pense l'obliger a se mettre a quatre pattes sur le bureau afin de nous presenter ses plantes de pieds et se laisser chatouiller par ceux desireux de le faire mais, craignant que ses inevitables rires n'attirent trop de monde vers le theatre de mes exploits, j'annonce alors avec un sourire triomphant que notre esclave est a la disposition de tous, chacun disposant d'une bonne minute pour satisafaire sa curiosite. C'est ainsi que durant le dernier quart d'heure qui lui semblera une eternite, Mme Frank aura les fesses maintes et maintes fois petries et les nichons vigoureusement palpes et soupeses  Deux ou trois de mes condisciples iront meme jusqu'a insinuer un doigt inquisiteur entre les cuisses de cette femme bafouee, vaincue et sanglotante.

Longtemps encore elle se souviendra de nos regards avides, puis de nos rires et de nos commentaires desobligeants et encore plus du contact de nos mains moites de plaisir et febriles d'excitation.

Mardi dernier, je suis rentré beaucoup plus tôt que prévu de l’école. L’instituteur était parait-il malade et la direction avait juge inutile de nous garder après le repas de midi.

Je rentrais donc vers une heure chez la tante qui m’hébergeait durant l’année scolaire pour m’éviter l’internat.

Je poussais la porte d’entrée et criait : « Tante ? C’est moi ! Je suis déjà rentré ! N’Y a pas ecole-apres-midi ! L’instit’ est pas la ! »

Je m’attendais a entendre tante me répondre qu’elle était comme a son habitude dans la cuisine ou dans la buanderie mais rien, le silence.

Tout en commençant a la chercher d’abord au rez-de-chaussée, puis a l’étage, je criais a intervalle régulier : « Tante ? Houhou ! T’es ou ? ». Toujours rien.

J’empruntais alors l’escalier de la cave et me retrouvait entre autre devant cette fameuse porte devant laquelle tonton m’avait dit un jour : « Derrière celle-là ? Ah, ca, gamin, disons que c’est un secret… du moins pour le moment ! Le moment venu, quand tu seras plus grand je te montrerai ce qui se cache derrière !. »

La porte était entr’ouverte et je réalisais soudain qu’il me suffisait de la pousser pour connaitre le secret qu’elle dissimulait. Et c’est la que je découvrais…

La suite en images… et en dialogues.

Moi : -Tante ? Houhou ! T’es la ?

Tante  (tout bas) : -Mon dieu ! Le gamin ! Et Roger qui a oublie de me détacher avant de partir !

Moi : -Ah ! Tu es la tante !... Mais… oh bin ca alors !... Mais qu’est-ce que tu fais comme ca… et attachée en plus ?

Tante  (embarrassée) :- Bin c’est que… tu vois… Tonton et moi on… il nous arrive de… enfin… tu comprends quoi !

Moi :- Heu !... Non ! Pas trop tu vois !

Tante :- Aller ! Autant que tu le saches. Tonton aime bien m’emmener ici pour m’attacher et… disons… me faire des… des choses…comme… comme m’humilier, comme maintenant… Mais détache-moi maintenant que… que je puisse m’habiller !

Moi :- C’est donc ca le fameux… secret ! Je comprends maintenant que tonton ne voulait pas en parler. Faut dire que ce serait gênant que tout le monde le sache, hein tante ? Pas vrai ?

Tante (penaude) :- Bin… si… Tu… tu ne le diras a personne, hein ? D’accord ?

Moi :- Hmmmm… d’accord… si tu me laisses enlever ton singlet pour que je puisse regarder tes nichons !

Tante :-A parce qu’en plus tu… tu veux voir mes… ma poitrine ?... Te… te gène pas surtout !

Tante (visiblement mal a l’aise) :- Ca… ca y est ? Tu as assez regarde, non ? Aller !  Tu me détaches  maintenant !... S’il te plait !

Moi :- Bin… tu vois tante, oui, je te détacherais bien mais… tu vois… ca faisait longtemps que je me demandais a quoi pouvait ressembler une femme toute nue. Alors, maintenant que tu m’en offres l’occasion, je compte bien en profiter encore un peu en prenant tout mon temps, tu comprends ?

Tante :- S’il… s’il te plait ! Non ! Détache-moi !... Aller ! Sois gentil ! Si… si tu me détaches maintenant, je… je ne dirai rien a ton oncle ! D’accord ? Et… et puis, c’est si gênant de me retrouver toute nue devant toi !

Moi :- Alors ? Comme ca, c’est gênant pour toi d’être comme ca devant moi ? Moi, je trouve que c’est plutôt amusant de te regarder ainsi… Et puis, t’es pas si laide finalement ! Je commence a comprendre pourquoi tonton aime te faire ca ! C’est assez excitant !... D’ailleurs, regarde, j’en attrape un zizi tout dur ! Hihihi !

Tante :- Pourquoi tu te mets derrière moi ? Qu’est-ce… qu’est-ce que tu va faire ?

Moi :- Oh… rien de spécial tante ! J’avais juste envie de savoir a quoi ressemblaient tes pieds !... Surtout les plantes ! Depuis le temps que j’en avais envie !

Tante :- Co… comment ca ! Mes… mes pieds ? Qu’est-ce..  qu’est-ce qu’ils ont mes pieds ?

Moi :- Bin… tu vois tante… moi aussi il faut que je t’avoue une chose… même si j’aime bien te regarder comme ca, toute nue et attachée, c’est surtout quand je regarde tes pieds que je me sens tout bizarre et tout excite a l’idée que rien ne pourrait m’empêcher de leur faire tout ce que j’ai envie. !

Tante (qui commence a redouter quelque chose et qui tente de mettre ses pieds a l’abri) :- Co… comment ca… faire tout ce que tu as envie de faire avec… avec mes pieds ?

Moi :- Bin… les toucher, les caresser, jouer avec quoi… D’ailleurs, qu’est-ce qui pourrait m’en empêcher hein ?... Tonton ? Pas la ! C’est bête hein ? Toi, tante ? Bin non… puisque tu es attachée !

Tante (qui prend peur en se cramponnant a son poteau) :- Oh mon Dieu ! Non ! S’il te plait ! Pas ca ! Tu… tu devrais déjà  être content d’avoir pu me regarder comme ca toute nue ! Aller ! Détache-moi ! S’il… s’il te plait !... Et puis je commence a avoir mal au bras tu sais !

Moi (avec un petit soupir de fausse compassion) :- Aller ! Bon ! D’accord ! Je vais te détacher !

Un peu plus tard, alors que je n’ai détaché que ses mains…

Tante :- C’est… c’est ca que tu appelles me détacher ? Aller ! Libère mes pieds… que je puisse me rhabiller…

Moi :- Tu vois tante… j’aimerais bien le faire…Mais une petite voix dans ma tète me dit aussi que je n’aurai peut-être plus une pareille occasion avant longtemps alors… Et puis, je ne sais pas, tes pieds, tu vois, je les trouve encore plus… excitants et… oui… mieux mis comme ca !

Tante :- Comment ca « mieux… mieux mis comme ca ! » ? Je… je ne comprends pas !

Moi :-Bin… un jour, je suis tombe sur une revue de tonton… tu sais bien… une de celles qu’il lit quand je ne suis pas la. Dans son bouquin, a peu près au milieu, il y avait une série de photos montrant une femme toute nue attachée sur une espèce de table de torture. Deux hommes en cagoules se tenaient tout près de ses pieds et lui chatouillaient les plantes avec une plume… Depuis, je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours rêvé d’essayer. J’espère que tu comprends maintenant pourquoi je ne suis pas trop presse de te détacher.

Tante (la gorge nouée et essayant en vain de libérer ses pieds) :- Tu..  tu voudrais me..  me chatouiller mes.. . mes pieds ?

Moi :- He oui tante ! T’as enfin compris ! Aller, je promets de faire attention et d’arrêter de temps en temps, comme dans le livre.

Tante :- Oh mon dieu, non ! Pas ca ! Aller, s’il te plait ! Non !... Et puis, il… il faut que tu saches que… que j’ai horreur de ca ! Je..  je ne supporte pas qu’on… qu’on touche mes pieds !... Et… et toi tu… tu veux me les chatouiller ? Mon dieu non ! C’est pas vrai ! Pitie, gamin, non, ne fait pas ca ! S’il… s’il te plait !

Moi :- Aller, tante ! Juste un petit peu ! Et puis j’en ai tellement envie. Tellement que j’en ai le zizi qui me fait mal… Regarde comme il est gros maintenant !

Tante (qui ne peux s’empêcher de voir ma formidable érection) : Pitie ! Non ! S’il… s’il te plait !... Si… si tu me chatouilles, je.. , je le dirais a ton oncle !

Moi :- Bah ! Tôt ou tard, tu vois, il l’apprendra ! Alors… Et puis, je suis trop curieux de savoir ce qui va se passer quand je vais promener une plume sur tes plantes de pieds !

Tante :- Pitie, gamin ! Non ! Je… je ferai tout ce que tu veux si… si tu ne me chatouilles pas  les pieds !

Moi (en prenant un air intéressé) :- Tu ferais tout ce que je veux si je renonce a te chatouiller les pieds ?

Tante (qui croit s’en tirer comme ca) :- Oui ! Je… je viens de te le dire !

Moi :- Quoi par exemple ?

Tante :- Bin… je sais pas moi… comme t’autoriser a venir me regarder pendant que je prends mon bain ou venir sous la douche… avec moi.

Moi :- Mmmm… oui ! C’est assez tentant mais… non… l’envie de te chatouiller est trop grande !... A moins que…

Tante :- A moins que…. ?

Moi :- Tu as bien dit… tout ce que je voulais ?

Tante (l’air penaude) :- Oui… si tu promets de ne pas me chatouiller les pieds !

Moi :- Alors j’aimerais assez que tu…. Mmoui… que tu restes toute une journée toute nue rien que pour moi pendant que tu fais le ménage, la cuisine, enfin, une journée normale quoi ?

Tante (a nouveau horrifiée par le terrible choix) :- Que … que je reste toute une… une journée a travailler toute nue ?... Non ! … Ca, je… je ne pourrais pas ! Ce serait trop… trop dur… et trop humiliant ! Et puis, j’aurais trop peur que… que quelqu’un me voie ! Non, gamin, non ! Pas ca !

Moi :- Tu vois tante comme tu es ?... Je te propose un échange qui pour moi est équitable… et tu refuses. Tu dis que tu ferais n’importe quoi si je ne te chatouille pas les pieds… puis tu ne veux plus ! Mais bon ! N’en parlons plus ! Et puis, c’est quand même tes pieds qui m’attirent le plus !

Tante :- Gamin, non ! Pitie ! Non ! Ne… ne me les chatouille pas ! Caresse-les si tu veux mais… de grâce… ne les chatouilles pas !

Moi :- Aller ! Juste un petit peu ! … Tiens je te propose même un truc… je jure de ne pas te chatouiller plus que cinq minutes… a la fois !

Tante : Co… comment cinq minutes a la fois ?

Moi :- Bin oui… cinq minutes avec les doigts, une pause… cinq minutes avec une plume, une pause… cinq minutes avec un pinceau, une pause… cinq minutes avec le plumeau… une pause… Ah oui, je précise… sur chaque pied bien sur !

Tante :- sur… sur chaque pied ?.... Oh mon dieu non !..

Moi :- He si !

Tante (qui comprends enfin qu’elle n’y coupera plus) :- Et tu jures que tu ne dépasseras pas les cinq minutes a chaque fois ?

Moi (qui commence a jubiler d’avance) :- Promis jure ! Pas plus que cinq minutes !

En tout cas, je n’oublierai pas la tète de Tante quand elle m’a vu revenir avec trois plumes, trois pinceaux, deux brosses et deux plumeaux, tous différents et qu’elle comprenait que les cinq minutes multipliées par le nombre de pieds et le nombre d’ustensiles  allaient se transformer en plus d’une heure de supplice.

Je bandais tellement en lui chatouillant les pieds que j’avais fini par libérer mon zob de mon short ou il formait une bosse impressionnante. Et plus tante riait et essayait de me supplier, plus il se redressait de plaisir.

Mais ce que tante avait ignore jusque la c’est que une fois sa torture terminée, je lui réservais une dernière surprise, un truc que j’avais également vu dans les bouquins de tonton. Tante mettait longtemps a comprendre pourquoi je lui badigeonnait a présent les pieds avec du miel bien collant.

Ca n’ a été que quand j’ai fait descendre le chien a la cave qu’elle a compris que ce qu’elle venait d’endurer n’était encore rien a cote de ce qui l’attendait !...

Malgré ses suppliques et ses larmes j'invitais le chien a venir lui renifler les plantes de pieds pour le laisser ensuite longuement et goulument les lui lécher. Je me souviens m’être longuement masturbe en regardant cette langue se promener sur les pieds sans défense que tante, hurlant de rire et se trémoussant comme un poisson hors de l’eau, ne parvenait évidemment pas a soustraire a la terrible torture.

Je ne sais pas si tonton a été courant mais alors que j’étais un jour seul avec tante, je lui ai une fois demande de faire son ménage toute nue uniquement vêtue d’un petit tablier de soubrette devant moi… Et bin, elle a presque instantanément accepte de le faire, malgré l’humiliation que ca lui faisait ressentir, malgré la peur aussi qu’on la remarque en pareille tenue.

C’est dire sa phobie pour les chatouilles a ses plantes de pieds!