Vendredi 23 juillet 5 23 /07 /Juil 07:24

Benjamin, mieux connu sous le surnom de Ben, vous savez, le fils de ce pharmacien qui, sans le savoir, a mis au point une fabuleuse potion a la fois de soumission et d'inhibition, et bien, cette fameuse potion, il a du la tester.

Alors, pourquoi ne pas joindre l'utile a l'agreable et en profiter pour realiser les fantasmes qui lui tiennent le plus a coeur.

 

Depuis longtemps, il a trop envie de regarder sa tante Penny se deshabiller dans son domaine, sa propore cuisine. C'est donc elle qui ouvre le bal des le lundi de la semaine suivante.

 

01-Ben-Lundi-1010

 

Au vu de la totale reussite de cette premiere experience, Ben se lache et decide de retenter le test des le lendemain, toujours avec sa tante Penny, mais cette fois en presence d'un copain devant lequel la pauvre tante devra se devoiler et meme se livrer a une jolie et excitante exaction.

 

02-Ben-Mardi-1007

 

A nouveau, c'est un succes. Alors pourquoi se priver? De plus, c'est mercredi, le jour de sa lecon particuliere de francais donnee par une certaine Madame Franck, une femme mature aux restes encore fort acceptables. La decision de Ben est prise... elle lui fera elle aussi un torride strip-tease avant de lui donner sa lecon.

 

03-Ben-Mercredi-1008

 

Cette fois, Ben ne se sent plus et decide des le lendemain, le jeudi, de se rendre chez la voisine, une denommee Lucienne, Lulu pour les amis. Grace a la fameuse potion, il n'a aucune peine de persuader la pauvre femme de se laisser attacher avant de se laisser humilier et torturer a souhait par le jeune garnement.

 

04-Ben-Jeudi-1003

 

Si le vendredi est une journee ordinaire, des le samedi, Ben se rend chez une amie de sa tante Penny, une certaine Renee, chez qui il a promis de se rendre pour confectionner un petit meuble. Cette chere femme possede un chien et deux chats. A leur vue, Ben n'hesite evidemment plus et, maintenant certain de la totale efficacite de la potion, decide de tester sur la pauvre femme la plus horrible des tortures, celle d'une langue de chien et de chat allant, venant et fouillant sans relache les plantes de pied et les orteils de la malheureuse immobilisee et sans defense.

 

05-Ben-Samedi-1004

 

L'histoire complete vous interesse? Il vous suffit d'ouvrir l'album La semaine de benjamin et de vous regaler. Bonne lecture.

 

 

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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 11:17

Prologue

 

Ben, un ami de Didier, a un pharmacien pour pere. Alors qu'il cherche un remede miracle pour divers maux, il se trompe et fabrique une potion qui a l'etrange pouvoir d'effacer les souvenirs et de rendre docile quiconque en boit et cela durant plusieurs heures. Si le pere n'y voit la aucun interet, il n'en va pas de meme de Ben qui, aussitot, decouvre tout le parti qu'on peut tirer d'un tel breuvage de surcroit incolore et insipide donc indetectable. Apres l'avoir testee sur sa propre mere, il en refabrique en cachette et en fait bien evidemment profiter son meilleur copain Didier qui, on s'en doute, en abuse plus qu'il n'en use.

 

Tante V ou la potion de soumission

 

Quatorze heures vient de sonner. Comme tous les mercredis, je range le materiel de l'option complementaire de dessin que Pierre et moi avons choisie. Pierre, il faut bien le dire est mon meilleur copain, un copain qui n'a jamais eu beaucoup de chance et qui vit seul avec une mere qui le supporte plus qu'elle ne l'aime. Pour celui qui le sait, ca explique bien sur le manque d'entrain qu'il met a ranger ses affaires pour rentrer chez lui.
Moi, c'est tout le contraire. Je suis plutot presse de rentrer chez ma tante V, celle qui s'occupe de moi depuis bientot six ans, depuis la disparition accidentelle de mes parents.
Tante V, trente-huit ans, c'est soixante douze kilos pour un metre soixante deux, des rondeurs genreuses la ou il faut, celibataire et sans enfants. De l'ecole a son appartement trois pieces, il y en a pour a peine dix minutes.
Je m'apprete a quitter les lieux quand je propose a Pierre, Pierrot comme je le surnomme:
" Le gouter chez ma tante, ca te dit?".
Pierrot releve la tete, me sourit et rassure de ne pas devoir rentrer tout de suite chez lui, accepte.
Lorsque tante nous ouvre, Pierrot decouvre donc ma tante tel que je vous l'ai decrite et vetue d'un chemisier courtes manches jaune, d'un pantalon bleu, les pieds enfiles dans des chaussettes grises et enfuits dans des charentaises. Pour terminer le tout, un petit tablier de menage a bavette est noue autour de sa taille. C'est donc quelque part une menagere ordinaire que je presente a Pierrot, loin encore d'imaginer ce que j'ai envie de lui faire reellement decouvrir.
Elle nous invite a nous installer et, certaine de nous savoir assoiffe, nous verse trois verres de lait, la boisson type de la maison. Tandis que Pierrot sirote le sien, j'interroge tante:
" Ne dirais-t-on pas que ta chasse d'eau coule encore tante?".
Tante V tend l'oreille, me regarde en froncant les sourcils et demande:
" T'en es sur? J'entends rien pourtant!... Mais il vaut mieux verifier".
Comme je m'y attendais, elle se leve et se dirige vers la salle de bain au bout de laquelle se trouve le WC. Je connais tante V et je sais qu'une fois la-bas, comme pour ne pas y etre allee pour rien, elle va satisfaire un petit besoin et tirer cette chasse pour me prouver que j'ai eu tort. C'est plus de temps qu'il n'en faut pour sortit une petite fiole de ma poche, oter le bouchon et verser une dizaine de gouttes du liquide incolore qu'elle contient dans le verre de ma tante.
"Mais qu'est-ce que tu...".
Mais deja, un doigt sur la bouche en rangeant mon flacon, je fais
"Chut!... Rien de grave! rassure-toi!... Disons que c'est une... oui... une surprise".
Rassure, Pierrot garde le silence et voit tout comme moi Tante revenir des toilettes, s'asseoir a la table qui sert a la fois de table de cuisine et de salle a manger et empoigner son verre de lait pour en boire trois grosses gorgees. Pierrot ecarquille les yeux, pensant voir tante recracher son lait et me voir m'esclaffer de cette bonne blague mais non, tante repose son verre et, sans avoir rien remarque, demande:
" Alors, c'est donc toi le fameux Pierrot? Didier me parle souvent de toi!... J'ai cru comprendre que vous etiez les meilleurs copains du monde, c'est bien ca?".
Pierrot, qui en est maintenant a se demander ou se trouve ma surprise dans tout ca bredouille:
" Heu... oui, madame!... On... c'est vrai qu'on s'entend bien et qu'on nous voit souvent ensemble Didier et moi.".
Tante boit encore deux gorgees et enchaine:
" Et cette journee a l'ecole... racontez-moi!".
Je prend la parole et commence a expliquer d'une voix un peu blasee:
" Bin comme d'hab'. Aujourd'hui, on a eu deux heures de fourche!... Ce grand dadais qui nous sert de prof de math etait absent!".
Pierrot sourit et enchaine:"
C'est vrai que c'est un gars tres cale dans sa branche mais pour le reste, c'est pas ca!... Et sa facon de s'habiller, on croirait qu'il habite toujours chez sa moman".
Nous nous mettons a rire tous les trois puis, le calme revenu, tante fronce les sourcils, pose la main sur son front et demande a mi-voix:
" Tiens!.. De quoi on parlait encore?".
C'est le signal, celui qui m'indique que la potion que j'ai verse fait son effet et que tante me sera totalement devouee a partir de la minute qui suit. Pierrot, en gentil garcon qu'il est enchaine:
" Nous parlions de l'ec...".
Je le coupe aussitot en lancant:
" Bin... je ne sais plus non plus tante!... Bah, ca te reviendra!... Et si tu nous preparais ton chocolat chaud, celui que tu fais toi-meme!".
Puis me penchant vers Pierrot j'ajoute a voix basse:
" Attention... ca va bientot etre la surprise!".
Je vois dans ses yeux qu'il ne comprend rien mais lui fait signe de patienter, ce qu'il fait en regardant tante se lever, aller a sa table de travail et commencer a raper le chocolat noir necessaire a la preparation du breuvage. Tandis qu'il la regarde, je me penche et demande:
" Dis-moi Pierrot... ton avis... Les fesses de tante, tu les trouves comment?".
Pierrot se tourne vers moi, eberlue, rougissant meme et bredouille:
" Les... les fesses de... de ta tante?... Bin... heu... c'est pas ca que je regardais donc...".
Je souris et lui lance:
"Menteur va! Aller, dis-moi!".
La, Pierrot est oblige d'avouer et lance a voix basse pour ne pas etre entendu de tante:
" C'est... c'est vrai qu'elle... qu'elle a un joli popotin en tout cas!.
"C'est aussi mon avis!".
Pierrot reprend son verre, le porte a ses levres et manque de s'etrangler quand je lui lance a l'oreille:
" Ca te plairait de les voir en vrai?".
Tante se retourne, lance un sourire condescendant a Pierrot et s'exclame:
" Attention mon garcon!... C'est comme ca qu'on avale de travers!... Ca va?".
Pierrot s'essuie du revers de la main et, visiblement embarasse, bredouille une fois encore:
" Ou... oui oui, ma... madame. Ce... c'est ma faute. Je... j'ecoutais la derniere blague de Didier!".
Rassuree, elle nous tourne a nouveau le dos et se remet a la tache. Je reitere ma question:
" Je te demande... ca te plairait de les voir en vrai?".
Pierrot, naivement, me lance alors:
" Tu rigoles? Elle ne voudra jamais!".
Goguenard, je me redresse et lance:
" Tu paries combien?".
Puis me tournant vers tante, j'enchaine:
" Tante? Tu n'enleverais pas ton pantalon?... Et tant que tu y seras, tu nous enleveras aussi ta petite culotte que mon copain puisse admirer tes jolies fesses!".
Aussitot, tante depose le chocolat et sa rape et sans aucune hesitation ote tour a tour les deux vetements designes, offrant ainsi a un Didier triomphant de son pari et un Pierrot suffoquant sa splendide paire de fesses rondes et roses dans la raie desquelles se coince deja le ruban du tablier. Je lance a Pierrot un " Alors? Tu les trouves comment?" mais ce dernier reste bouche bee durant un long moment avant de se tourner enfin vers moi, les joues pourpres, un sourire beat lui deformant la figure et avouer enfin:
" Qu'elles... qu'elles sont... holalaaaaa... belles!... Mais... mais ca ne lui fait rien de rester comme ca le... cul tout nu?... Et devant nous?".
Pour toute reponse, j'exhibe le petit flacon et le balance devant son nez en chantonnant:
" Surprise! Surprise!".
La, Pierrot comprend que l'attitude de tante n'est evidemment pas naturelle et que la potion y est pour quelque chose. J'aimerais deja lui expliquer son fonctionnement mais me dit qu'il sera encore temps plus tard dans l'apres-midi et invite mon ami a de nouveau profiter du spectacle. Ce dernier ne tarit pas de commentaires, surtout au moment ou tante, reprenant sa rape, recommence son mouvement de va et vient avec le bloc de chocolat, faisant du meme coup trembloter et balancer delicieusement ses fesses. Pierrot ajoute meme, comme si je ne l'avais pas remarque:
" T'as... t'as vu comme elles balancent bien?... Holala... qu'elle est excitante comme ca!".
Je ne peux qu'acquiescer mais j'ajoute:
" Tu ne trouves pas que sa tenue a egalement un cote... comique, voir humiliant comme ca le cul nu mais en ayant garde le haut, ses chaussettes et ses pantoufles?".
La Pierrot s'esclaffe et enchaine:
" Si, c'est vrai! Hihihihihi! C'est vrai, t'as raison!... Et si on lui demandait de les enlever?".
Mais mon idee est autre et je l'arrete simplement en declarant:
" Hmmmm.... non! Pas encore! Profitons plutot du spectacle!.... Je ne sais pas toi mais moi, ca me fait deja bander! Pas toi?".
Il serait vain de la part de Pierrot de mentir car j'ai deja remarque la bosse impressionnante qui deforme son pantalon, bosse qu'il tente pudiquement de dissimuler depuis la premiere seconde de cette insolite surprise.

 

Tante V


Durant un long moment donc, nous admirons en silence le popotin de tante, agite de nouveaux balancements et de  nouveaux tremblotements tandis qu'elle incorpore le chocolat rape au lait chaud a l'aide d'un fouet. Afin de mettre Pierrot totalement a l'aise, je sors mon membre raide comme une trique et, doucement, commence a me masturber. En decouvrant ma nouvelle activite, Pierrot rougit de plus belle mais finit par ceder et lui aussi se met a s'astiquer. Il y met tant de vigueur que je dois meme le calmer en lancant:
" Hola!... Pas si vite! Profite!... La journee n'est pas terminee".
Comprenant qu'il faut effectivement faire durer le plaisir, il se domine, se relache un peu et, tout comme moi, masse doucement son membre libere du pantalon ou il s'etait retrouve a l'etroit.
Enfin, le chocolat est pret et tante revient vers nous avec un large sourire, tenant d'une main deux bols et de l'autre un poelon fumant du delicieux breuvage. Une fois les bols poses devant nous, tante s'apprete a servir notre invite en premier mais je l'arrete:
" Non! Tante! Moi d'abord!".
Docilement, tante obeit et vient se placer a mes cotes pour remplir doucement mon bol. Sans coup ferir, je sors une main de dessous la table et, sans scrupule, me mets a caresser et petrir le posterieur de tante qui, loin de s'offusquer et de s'eloigner une fois mon bol plein, se laisse faire en gemissant doucement et me me sussurant un "Oh bin toi alors!... Didier, non, pas la!".
Mais je n'oublie pas la presence de mon ami et libere tante pour qu'elle puisse a son tour le servir. Tandis qu'elle verse le liquide dans le bol de Pierrot, je comprends que ce dernier hesite a m'imiter. Aussi je prends les devants et declare une fois le bol plein:
" Attends tante! Reste la!... Aller Pierrot! Qu'est-ce que t'attends? Vas-y! Aller!".
Enfin, il avance une main tremblante et, en bandant de plus belle, caresse timidement la fesse gauche de tante. Pour l'encourager, je demande:
" Et comme ca? Tu les trouves comment? Poigne dedans! Oui, vas-y! Poigne bien! Elles sont encore ferme hein pour une femme de son age!".
Visiblement, c'est la premiere fois que Pierrot voit une fesse feminine d'aussi pres et surtout qu'il la touche! Mais peu a peu, il trouve de l'assurance et lance:
" En tout cas, qu'est-ce qu'elles sont douces!"
Puis deposant meme un baiser sur la plus proche, il enchaine:
" Et qu'est-ce qu'elles sentent bon en plus!".
Une fois encore je ne peux qu'acquiescer et le laisser peloter tante a sa guise. Enfin, il retire sa main et, timidement, presque en baissant les yeux, bredouille:
" Dis! Tu... y a un truc que j'aimerais bien... enfin, tu veux bien qu'elle... qu'elle me montre sa... sa chatte?".
Un instant, je pense faire languir mon ami mais devant tant de candeur, je craque et ne peux qu'acceder a sa requete declarant:
" Bien sur! Aller tante, souleve ton tablier et montre ton minou a Pierrot.
Aussitot ce dernier ouvre de grands yeux et s'exclame simplement la bouche en cul de poule:
" Rhoooooo.... Rhooooo qu'elle... qu'elle est belle!... Et pas trop poilue en plus!".
La encore, je le laisse contempler le minou de tante puis lui annonce:
" Tu peux toucher si tu veux! Aller! Vas-y!".
Cette fois, je sens Pierrot deja plus en confiance car il n'hesite presque plus et plonge doucement le bout des doigts dans la toison pubienne de tante pour peu a peu arriver pres des levres vaginales. Tante, sous la caresse, tressaille, incitant ainsi Pierrot a recommencer son exploration et a la pousser a chaque fois un peu plus loin.
Mais je le ramene a la realite en constatant:
" Tu ne crois pas qu'il serait temps de boire notre chocolat? Il va refroidir!".
"Hein?... Heu quoi?... Le?... Ah oui, le chocolat".
Il cesse donc ses attouchements, liberant du meme coup tante qui s'eloigne avec son poelon presque vide. Tandis que nous sirotons la bonne et chaude boisson, je propose alors:
" Tu aimerais qu'elle montre ses nichons maintenant?".
Cette fois, Pierrot trepigne et le visage eclaire d'un nouveau et large sourire, il crie presque:
" Oui! Oui bien sur! Et puis j'ai trop envie de voir comment ils sont!".
Sans attendre, pour satisfaire a ma requete, tante se tourne a nouveau vers nous et, toujours avec autant d'assurance, enleve tout d'abord son chemisier avant de faire jaillir du soutien gorge que je lui demande de garder deux sublimes nichons ronds et fermes aux tetons bruns et arrogants. En decouvrant cette nouvelle merveille, Pierrot repart de plus belle dans sa masturbation et ne peut une fois encore que s'exclamer sur leur tenue et leur beaute. Mais deja, j'intime l'ordre a tante d'oter le sous-vetements et d'enlever son tablier, l'obligeant ainsi a se presenter a nous completement nue a l'exception de ses chaussettes et de ses charentaises qui confere a sa tenue un cote tout aussi humiliant qu'excitant.
Tout en buvant notre chocolat, j'offre alors a Pierrot le spectacle de ma tante obligee de se presenter devant nous pour etre a nouveau pelotee pour ensuite devoir tour a tour danser, se tremousser et sautiller devant nous, rendant ainsi aux yeux de Pierrot, au bord de l'apoplexie, le spectacle de ses formes bondissantes encore plus excitant.
Le spectacle est d'ailleurs si bandant pour lui qu'il ne peut s'empecher d'accelerer sa vigoureuse masturbation pour soudain se figer, le regard vague et ejaculer abondamment dans un mouchoir sorti in extremis de sa poche, tout ca en poussant un long grognement de satisfaction.
Remis de ses emotions et de cette explosion de plaisir, il s'attend a etre congedie pour devoir rentrer chez lui mais je le retiens et l'incite a rester en decidant cette fois de lui expliquer comment tout ce qu'il vient deja de vivre est possible. C'est donc avec autant d'attention pour mon recit que pour tante qu'il continue d'observer du coin de l'oeil, occupee maintenant a faire sa vaisselle apres avoir remis son petit tablier, evidemment trop petit pour pouvoir pretendre cacher sa totale nudite, qu'il m'ecoute. Je lui explique donc le pouvoir de cette potion il faut bien le dire miraculeuse, potion qui, une fois ingeree, rend le sujet docile comme un agneau, cela durant toute une journee, insistant egalement sur le fait que le sujet, des le lendemain, ne garde heureusement aucun souvenir de ce qui lui a ete demande et fait la veille.
Une fois mon explication terminee, il se met presque a solliloquer, comme pour bien retenir une lecon:
" Donc si je comprends bien, tu donnes cette potion a ta tante, a son insu bien sur et apres quelques minutes, tu peux tout lui demander et ca durant toute une journee en plus?... Et tout lui faire aussi?... C'est vraiment genial ca! Oui, vraiment genial!".
La, il marque une pause puis, a nouveau timidement, il demande:
" Avant... avant de partir, je... j'aimerais encore faire un truc qui... enfin que j'ai toujours eu envie de faire!... Tu... tu veux bien?".
Je rassure aussitot Pierrot car c'est avec un bon sourire de condescendance que je lui annonce:
" Et avec ma tante, je parie, c'est ca?". A nouveau, Pierrot se trahit par l'empourprement de ses joues et avoue:
" Oui... enfin avec une femme... pas forcement elle, bien sur!".
Pour toute reponse, je l'invite d'un geste a prendre seul la tete des operations, impatient de voir de quoi est fait son fantasme.
C'est donc tout d'abord maladroitement qu'il ordonne a tante de venir se mettre a quatre pattes sur les mains et les genoux sur la petite table du salon proche, position qui semble aussitot le reexciter au plus haut point a en juger par sa nouvelle et toute aussi vigoureuse erection. Durant de longues minutes, comme semblant ne jamais vouloir s'en lasser, il laisse ses deux mains aller et venir sur le corps nu et soumis qui lui est offert, soupesant ici un nichon, flattant la une fesse pour de temps en temps passer une main entre les cuisses et venir caresser le pubis de tante, faisant visiblement un gros effort pour ne pas ceder a l'envie de masturber cette chere femme qui n'est desormais plus qu'un jouet entre les mains de mon ami.
Enfin, il modere le rythme, semble meme se lasser mais ne manifeste pas encore l'envie de liberer son esclave. Je sens que son bonheur n'est pas totalement complet et qu'il manque encore quelques choses a la totale realisation de ce dernier. Je m'apprete a lui en demander la cause quand il me lance soudain:
" Ta tante, elle... elle est chatouilleuse?".
Repondant pas l'affirmative, je fais renaitre sur son visage un sourire de satisfaction retrouvee tandis qu'il avoue:
" Je... j'ai toujours reve de... de chatouiller et de lecher les plantes des pieds d'une femme!".
La encore je ne peux me resoudre a lui refuser cette nouvelle faveur et lui lance un simple "Mais je t'en prie" en designant tante, toujours honteusement installee sur la petite table.
C'est avec des doigts tremblants d'excitation que Pierrot ote une apres l'autre les charentaises et les chaussettes de tante pour s'offrir la vision de deux plantes de pieds roses et delicatement plissees terminees par la rangee reguliere des orteils dodus mais parfaits qui caracterisent les petons de ma tantine. Si il commence par humer le leger fumet qui se degage, Pierrot ne tarde pas a en juger la sensibilite en promenant d'abord un doigt, puis deux pour ensuite avec un sourire sadique, empoigner les chevilles de tante et gratouiller de plus en plus ferocement les deux plantes de pieds maintenants agitees de soubresauts mais que l'etreinte de mon copain mettent dans l'impossibilite d'esquiver les atroces chatouillis. Peu a peu, les rires de tante deviennent plus saccades, plus hoqueteux et entre coupes de suppliques qui excitent evidemment encore plus Pierrot qui maintenant ajoute a sa torture de nombreux et goulus coups de langues tantot sur les fesses tantot sur les pieds de sa prisonniere.
Mais a nouveau, il ne controle plus son excitation et, reprenant d'une main son vit violace par la puissante erection dont il est l'objet, il se remet a se masturber pour bien vite lacher pour la seconde fois de longs jets de semence sur les pieds et les fesses de celle qu'il a fait tant souffrir.
Je juge donc opportun de rendre a tante sa liberte, laquelle est renvoyee a ses fourneaux, cette fois completement nue a l'exception toutefois du degradant tablier. C'est la que je decele dans le regard de Pierrot a la fois le plaisir d'avoir enfin pu vivre son plus beau fantasme et le regret que ce dernier soit deja termine.
Au moment de me quitter, il se retourne sur le pas de la porte, me remercie mais semble trainer comme dans l'attente d'un geste de ma part. Je ne mets qu'une seconde pour comprendre ce qu'il aimerait. Je plonge donc la main dans ma poche, lui tend le petit flacon et lui lance:
" Tu me le rendras demain!... Amuse-toi bien avec ta maman!"
C'est d'un pas presse que je le vois s'eloigner, comme impatient de mettre un nouveau et tout aussi excitant projet a execution. J'apprendrai peu de temps apres que ce que tante avait subi avec nous n'etait rien compare a ce qu'il avait fait endurer a sa mere en matiere d'humiliations bien sur mais aussi de bondages divers et bien evidemment de tortures en tout genre, principalement sur les plantes de pieds.

Par lespetitspervers.erog.fr - Publié dans : Soumission
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Mardi 20 juillet 2 20 /07 /Juil 13:43

Qui n'a jamais secretement reve de pouvoir un jour obliger qui sa tante, qui sa mere, qui une etrangere a se deshabiller devant lui? C'est, je crois, celui de tout garconnet en age de bander, non?

 

Grace a un de ses odieux chantage dont il est l'auteur, Didier reussi en tout cas a dominer sa tante Agathe et faire d'elle un jouet avec lequel il compte bien assouvir ses fantasmes. Sur de son coup, il invite meme un de ses meilleurs copains, un prenomme Yves, a assister et meme orchestrer ce qui lui tient pour l'heure le plus a coeur, le premier strip-tease qu'il impose a sa tante. Mais Agathe se doute-t-elle que la ne s'arretera pas la perversite de son jeune neveu? En tous les cas, commence pour elle un veritable calvaire ou sa pudeur naturelle de femme mature risque d'en prendre un coup.

Fort de cette experience, il y a fort a parier que ce cher Didier n'en restera pas la.  

 

Ci-dessous, quelques vignettes de cette histoire. Pour la visualiser en entier, voir l'album Agathe-Strip en libre telechargement.

 

 Rooks009

 

Rooks012

 

Rooks014 

  

Par lespetitspervers.erog.fr - Publié dans : Humiliation
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  • : Un garconnet de treize-quatorze ans, aide par son petit frere ainsi que par quelques copains tous aussi demoniaques et pervers que lui, fait de ses tantes, voisines, de sa mere aussi ainsi que de ses institutrices, bref de toutes les femmes victimes par exemple de son chantage de vraies souffre douleur dont le lot est d'etre humiliees, bafouees et parfois meme aussi torturees a souhait.
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