Les Petits Pervers

Vous l'aurez sans doute devine, il s'agit bien evidemment du supplice sur les plantes de pieds bien sur.

Une autre connaissance, une certaine Renee, bien qu'hyperchatouilleuse, adore neanmoins qu'on lui chatouille les plantes de pieds. Des que j'ai un moment, je n'hesite pas a me rendre chez elle pour satisfaire a la fois son besoin et mon fantasme.

Mais bien qu'agreable et excitante, les chatouilles avec les doigts, une plume ou un pinceau n'en demeurent pas moins banales.

Et c'est la que j'ai une idee de genie. Cette brave Renee ne possede-t-elle pas des chats et un chien? Entre l'idee et sa realisation, il n'y a qu'un pas et c'est excite comme une puce que je me rend chez elle.

Sans rien lui dire, je l'invite a prendre place sur le matelas prevu a cet effet et, chose peu habituelle, lui immobilise les chevilles avec le stock de bois que je viens de bricoler. Alors qu'elle croit que je vais une fois encore lui chipotter les pieds avec les moyens habituels, quelle n'est pas sa surprise de me voir verser du lait condense sur ses pieds nus et appeler ses chats.

Se doutant alors que la delicieuse seance de chatouilles risque bien de se transformer en une veritable torture, elle tente bien de me dissuader de mettre mon projet a execution. Mais, intraitable, je fais la sourde oreille et me regale bien vite a la fois du spectacle que m'offrent les felins en train de lecher avidement les plantes de pied de Renee ainsi que de ses rires de plus en plus hysteriques et incontroles.

Ayant constate rapidement une evidente sur-sensibilite au niveau des orteils de ma victime, je ne tarde pas non plus a la faire se mettre sur le ventre, presentant alors ses plantes de pieds, les orteils tournes vers le bas, incitant ainsi les chats a venir encore plus souvent lecher les orteils rendus febriles et entre lesquels s'ecoule le lait.

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Le spectacle m’a tellement plu et surtout tellement excite que je lui propose alors de retenter l’experience mais cette fois avec son chien, ceci afin de tester l’effet d’une langue a la fois plus grosse mais aussi plus douce.

Bien que reticente a devoir subir a nouveau ce qui avait été sans conteste une veritable torture pour elle, elle fini par m’autoriser a fabriquer une sorte de bureau derriere lequel elle prendra place et au travers duquel elle fera depasser ses pieds. Le but de mon « meuble » est simple et permet tout a la fois de placer les pieds de ma victime a la bonne hauteur pour le chien et empecher cette meme victime de voir et d’anticiper quand et sur quel pied la langue douce et tiede du toutou va s’acharner.

Une fois mon dispositif termine et mis en place, Renee, bien que reticente je l’ai déjà dit, y prend place. Cette fois, mon objectif est multiple comme prendre bien sur du plaisir et bien entendu le partager mais aussi faire un comparatif entre les effets de la langue de chat et ceux de la langue de chien.

C’est pourquoi, je commence ma seconde experience a nouveau avec les chats qui, places sur une table, n’ont a nouveau aucune peine a venir lecher la creme que je depose sur les pieds de Renee qui rapidement et a mon grand plaisir, plonge dans les affres de la torture, tantot riant hysteriquement, tantot hoquetant.

Mais bien vite, l’impatience de decouvrir les effets de la langue du chien sur les pieds prisonniers et offerts me pousse a eloigner les chats avant de genereusement tartiner les pieds nus de beurre de cacahuettes, friandises exquises que le chien ne tarde pas a venir lecher longuement et goulument a grands renforts de coups de langue, tantot sur la voute plantaire, tantot sur ou entre les orteils.

Des les premieres secondes, le spectacle de ma nouvelle methode est tellement probant et excitant que je ne tarde d’ailleurs pas a bander en reprimant difficilement une terrible envie de me masturber.

Je suis aussi tellement excite par les rires et les cris desesperes de renee que je ne me tiens plus et admire en bavant de plaisir cette langue se deplacant vicieusement et insidieusement d’un pied a l’autre. Je me surprend meme un moment a encourager le chien par des «  C’est ca, le chien ! Leche ! Leche bien ! Oui, c’est ca ! N’arretepas ! » et des « Continue ! Encore ! Encore ! Oh oui, c’est bien le chien ! Vas-y ! Encore ! Oui, la aussi ! »

Je ne sais combien de temps dure cette nouvelle et excitante torture mais c’est un hoquet etrangle de Renee qui me ramene a la realite en m’incitant avec regret a mettre fin au tourment en eloignant le chien, laissant une Renee haletante et le visage en sueur, un peu pantelante mais sur le visage duquel je vois toutefois un sourire se dessiner tandis qu’elle me bredouille : » Mon dieu ! C’est… c’est… ouf… quelle torture !... Mais qu’est-ce que c’était bon ! ».

Elle m’avouera meme plus tard avoir joui tant elle avait pris du plaisir a avoir les pieds tourmentes de la sorte. Devant tant de franchise de sa part, je n’ai alors d’autre choix de lui apprendre que moi aussi j’ai failli jouir, mouillant d’ailleurs mon slip du liquide seminal que je n’avais pu empecher de s’ecouler de mon vit douloureusement gonfle par l’excitation.

Mon reve ? Disposer un jour d’une chevre et verifier si ce que l’on dit est vrai. Mais pour l’heure, les chats et le chien semble une belle alternative qui nous promet a Renee et a moi de merveilleux moments !

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J'ai pour manie de fouiller dans les affaires privees des gens! C'est comme ca qu'il m'arrive de decouvrir des secrets, certains charmants et mignons, d'autres beaucoup plus etranges ou meme delictuels.

C'est le cas pour cette chere Mme Frank, notre prof d'anglais, dont j'ai decouvert une partie de passe tres peu glorieux, voire carrement sordide.

Certain que personne n'en connait la teneur, je fais donc une copie de tous les documents que je peux trouver et decide de les utiliser en ma faveur, a savoir humilier cette brave dame devant tous mes copains et dans sa propre classe bien sur.

Des son arrivee, je lui parle de son passe. Evidemment, elle nie en bloc mais lorsque je lui montre les precieuses coopies, son sourire s'efface et c'est en balbutiant qu'elle finit par accepter d'echanger mon silence contre mes quatre volontes. Quatres? Non, une seule, l'obliger a se deshabiller ici et maintenant devant toute la classe.

Apres un moment d'hesitation, elle soupire, le visage bleme et commence alors son humiliant strip-tease, strip-tease que je tiens alors a diriger.

Tandis qu'elle deboutonne son chemisier afin de l'enlever, on peut alors deja entendre les premiers murmures approbateurs de mes copains de classe dont certains n'hesitent d'ailleurs pas a deja se mettre a l'aise pour apprecier l'excitant spectacle qu'ils se preparent a visionner.

Alors qu'elle n'en est encore qu'au debut de son humiliante punition, Mme Frank doit deja affronter en plus de sa situation, nombre de quolibets et de commentaires plus ou mpoins deplaces sur l'aspect de sa poitrine qu'elle n'a d'autres choix qu'a devoiler aux yeux de tous.

Bien sur, on sent cette brave dame pressee d'en finir et son chemisier a peine ote, elle s'attaque deja a son soutien. Mais, connu pour mon sadisme et mon esprit demoniaque, je l'arrete net et lui intime l'orde de continuer a se mettre toute nue mais en otant d'abord le bas!

Desemparee par  mon ordre, c'est de ses mains tremblantes et maladroites qu'elle commence alors a baisser sa petite culotte devant les yeux brillants de plaisir de mes copains.

Et lorsque je lui ordonne de se tourner afin de bien montrer ses fesses a toute la classe, c'est literallement un concert de commentaires qui brise le silence jusque la quasiment religieux de la classe. De ci de la, on entend plus que des "Holalaaaaa" ou des "He, les gars, z'avez vu ca?" ou encore "Bin ca alors! Si on m'avait dit que je verrais un jour ma prof se mettre a poil ici devant nous?", autant de remarques qui ne font qu'accroitre le sentiment deja grand d'humiliation que je fais ressentir a notre brave professeur.

Si les amateurs de fesses semblent nombreux parmi l'assistance a present passablement excitee, je n'en oublie pas moins les convenances et oblige ensuite durant un moment Mme Frank a se livrer a quelques jolies exactions comme entre autres se caresser les bouts de seins pour ensuite se les soupeser devant toute la classe.

Mais l'heure passe vite il me faut trouver une finale digne de ce nom au beau spectacle qu'elle nous a offert. J'oblige donc mme Frank a nous presenter genereusement ses fesses et de rester ainsi sans bouger tandis que j'invite tacitement les copains desireux de le faire a se masturber sans scrupule face aux sanglots que la pauvre femme laisse finalement et a mon grand plaisir echapper de sa gorge. 

Un moment, je pense l'obliger a se mettre a quatre pattes sur le bureau afin de nous presenter ses plantes de pieds et se laisser chatouiller par ceux desireux de le faire mais, craignant que ses inevitables rires n'attirent trop de monde vers le theatre de mes exploits, j'annonce alors avec un sourire triomphant que notre esclave est a la disposition de tous, chacun disposant d'une bonne minute pour satisafaire sa curiosite. C'est ainsi que durant le dernier quart d'heure qui lui semblera une eternite, Mme Frank aura les fesses maintes et maintes fois petries et les nichons vigoureusement palpes et soupeses  Deux ou trois de mes condisciples iront meme jusqu'a insinuer un doigt inquisiteur entre les cuisses de cette femme bafouee, vaincue et sanglotante.

Longtemps encore elle se souviendra de nos regards avides, puis de nos rires et de nos commentaires desobligeants et encore plus du contact de nos mains moites de plaisir et febriles d'excitation.